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  • Comment bien vivre le changement ?

    Comment bien vivre le changement ?

    Pourquoi c’est si dur de vivre le changement ? Pourquoi n’est-ce pas possible de changer de vie, de mentalité, d’orientation en un éclair ? Une idée de génie, et hop, c’est la transformation assurée ! Un claquement de doigt, et zou, on est une autre personne, avec 10 kg de moins, un visage lissé et un sourire plus blanc que blanc ! On lit quelques bouquins de développement perso et ça y est, on est… parfait… 
    Ah ! Dommage ! Ce n’est pas la réalité !

    Nous désirons tous améliorer notre vie, rendre notre existence meilleure et plus facile, mais nous refusons de changer. Nous préférerions qu’ils changent, mais nous devons d’abord changer intérieurement, c’est-à-dire changer notre manière de penser et de nous exprimer, sans quoi aucun changement extérieur n’est possible.” (Louise L. Hay)

    Je crois que, dans notre subconscient, nous savons que le changement va nous coûter des efforts, des sacrifices, et ouïe, on n’aime pas ça, souffrir ! On déteste, même ! On préfère notre petit confort, même s’il nous ennuie, nous enchaîne, nous déprime. Pourtant, on le veut, ce changement, car on se dit qu’on ne peut plus continuer à vivre ainsi, qu’on est arrivé au bout. Au bout de nos rêves, de nos attentes qui se sont transformés en mirages.

    Si tu réalises que “pas de changement, pas de changement”, alors je reste persuadée que tu seras partant(e) pour accepter au moins ce premier changement dans tes pensées : il est tout à fait possible de bien le vivre (le changement) !

    Personnellement, j’ai toujours raffolé des changements et j’en ai même abusé. Certains étaient intelligents, réfléchis, d’autres, carrément pas. Et mes figures de dominos ont fait très souvent trois pirouettes pour s’échouer lamentablement.

    J’en ai tiré plusieurs leçons (Tu sais, c’est le mot que j’utilise quand je parle de mes échecs 😊) que je te ressers aujourd’hui, et je souhaite ainsi que tu gagnes du temps, en économisant ton énergie.

    Quand je me suis aperçue, à mes dépens, que si je ne sortais pas de ma boucle de scénarios catastrophe, si je ne suscitais aucun changement, je subirais d’autres échecs, alors j’ai accepté de les provoquer.
    Avec les 5 attitudes suivantes, tu finiras par accepter le changement et même à y prendre un certain plaisir.

    Attitude 1 – Se motiver en se fixant des objectifs réalisables

    Rien de plus motivant, voire excitant que de se fixer des buts avec les moyens pour les atteindre. Certains sont très importants, comme : 

    • Obtenir une promotion
    • Se marier
    • Avoir un premier enfant
    • Construire sa maison
    • Reprendre ses études
    • Etc. 

    D’autres sont beaucoup plus simples, et touchent notre quotidien ou notre manière de vivre :

    • Perdre du poids > manger sainement > faire une activité physique
    • Prendre du temps avec ses proches > cultiver la patience > approfondir ses relations
    • Partir en week-end à Londres, Paris ou Barcelone avec des amis

    Quels que soient nos objectifs, il est important de ne pas les perdre de vue et de mettre tout en œuvre pour les réaliser

    💡 Cela implique forcément du changement ! Cela se passe premièrement dans notre tête : le dé-ci-der. C’est au-dedans de nous que le changement va commencer, parce que l’on n’accepte plus la vie que l’on mène actuellement. Parce que l’on veut vivre autrement : heureux(se) !

    Attitude 2 – Accepter la transformation intérieure

    Ce changement doit intervenir premièrement dans notre système de pensée. Adopter la “pensée positive”, mais pas seulement : l’accompagner aussi de paroles positives, de paroles créatives et optimistes, qui déclenchent des actions efficaces. 

    Cette attitude aura un impact considérable sur nos événements, nos rencontres, elle déclenchera “des ouvertures de portes”.

    J’ai accueilli le changement, la nouveauté comme des cadeaux, des défis à relever qui m’ont permis de passer au niveau supérieur, de m’enrichir. Et par conséquent, d’accompagner tous ceux qui souhaitent améliorer leur vie dans le changement. J’ai commencé par modifier mes pensées :

    • Je suis capable
    • Je vais apprendre, m’entourer de professionnels qui me guideront
    • Ce n’est pas que pour moi, cela va aider d’autres personnes
    • Je veux avancer, ne pas me contenter de mes acquis

    💡 Avec ce genre de pensées, je ne laisse aucune place à la peur, au doute, au manque de confiance en moi. Pour cela, je mets en place des stratégies, comme l’apprentissage, la méditation, le repos, les petits bonheurs qui me permettront de garder le cap, sans abandonner sous l’effort parfois conséquent.

    Attitude 3 – Faire preuve de souplesse, d’adaptabilité

    Ce qui doit arriver arrive. Les choses et les gens sont comme ils sont. Je peux accepter ce que je ne peux changer et modifier ce que je peux, n’oubliant pas que les solutions parfaites n’existent pas.” (Lucien Auger, psychologue)

    C’est ce qui signifie être souple et s’adapter. Résister au changement, rejeter la nouveauté ne les empêchera ni l’un ni l’autre, cela doit se produire, point. Et pour éviter une souffrance inutile, il est important de suivre le mouvement et d’abandonner l’envie de nager à contre-courant. Lutter contre le changement, auquel on ne peut rien, va non seulement nous épuiser, mais aussi nous dévier de nos objectifs, de nos rêves, tout en faussant nos raisonnements.

    💡 La seule question à se poser à mon sens est celle-ci : “Comment dois-je vivre ce changement pour éviter de souffrir ?” 

    Et la réponse qui s’impose : “En l’acceptant.”

    Attitude 4 – Dire “non” à la procrastination

    La première règle de la réussite, ne jamais remettre au lendemain l’exécution d’un travail.” (Emmeline Raymond)

    Repousser au lendemain ce que l’on peut faire le jour même cache plusieurs attitudes : la peur de l’événement en lui-même (encore une autre peur !), des actes à accomplir (Suis-je à la hauteur ? Vais-je y arriver ?) ou tout simplement la paresse, eh oui, appelons un “chat” : un “chat”.

    Le danger, dans cette attitude, c’est :

    • De cumuler des retards, se mettant en danger (santé, finances, relations…)
    • De prendre l’habitude de tout remettre au lendemain
    • De se priver aussi des bons moments (parce qu’on craint les mauvais)
    • De laisser filer les bonnes occasions d’améliorer notre vie qui résultent de nos actions, en aucun cas de notre passivité. 

    Si on ne fait rien aujourd’hui, rien ne se passera non plus demain, car certains événements demandent de l’endurance, du temps et de la persévérance.

    💡 J’ai une bonne manière de résister à l’envie de remettre à plus tard : c’est de commencer à faire ce qui me coûte le plus, me demande plus d’efforts, ou que je n’aime pas faire, et terminer par celles que je préfère. 

    “Accepter le changement aujourd’hui, c’est déjà préparer tes lendemains.”

    Attitude 5 – Per-sé-vé-rer sans se re-lâ-cher !

    Autrement dit, ne pas abandonner, quel que soit le prix à payer. Quand tu sens que tu es sur le point de baisser les bras, entoure-toi des bonnes personnes qui sauront t’encourager, te motiver, en te rappelant l’objectif pour lequel tu as entrepris ce changement.

    Persévérer, c’est aussi s’octroyer des pauses, avoir la sagesse de réaliser que si on est au bord de l’abandon, c’est qu’on a besoin de se changer les idées.

    Je te donne déjà ce genre d’astuces pour faire un break dans cet article : 5 clés pour (res)susciter l’état de bonheur.

    Es-tu prêt(e) à relever ce défi du changement de ta vie en adoptant 5 bonnes attitudes ? Alors commence dès aujourd’hui, ne repousse pas à demain😉

  • Une A.I.D.E.S. efficace contre la peur !

    Une A.I.D.E.S. efficace contre la peur !

    Pas de faute d’orthographe, mais simplement un acronyme pour te rassurer : il existe des remèdes à la peur, aux peurs ! Ce remède a une posologie bien précise en 5 phases : A.I.D.E.S. est destiné à t’aider à vaincre tes peurs.

    Beaucoup se contentent de vivre une vie médiocre, de ne pas avoir la vie qu’ils avaient imaginée, de passer à côté de leurs rêves. Je ne sais pas si tu fais partie de cette catégorie de personnes, personnellement, je l’ai quittée il y a plusieurs années, maintenant.

    J’ai le plaisir de vivre “exactement” de mes rêves, je savoure mes journées, malgré ses nids de poules parsemés sur la route, où je perds parfois un pneu ou me tords la rotule…

    Tout ce qui ne nous tue pas nous rend plus forts ! (Nietzsche) Parce qu’auparavant, je me suis transformée en serial killer, j’ai commis plusieurs meurtres et aucun de me conduira en prison, au contraire : je suis liiiiibre ! Oui ! J’ai tué toutes mes peurs ! 

    Je suis passée par toutes les étapes de “A.I.D.E.S.”, j’ai même dû m’y prendre à plusieurs fois, car rappelle-toi, j’ai donné un grand coup de pied dans la fourmilière, plus par dépit que par rage, et toutes les fourmis m’ont attaquée…

    J’ai commencé par…

    Avouer 

    Bah, à qui, et à quoi ça sert, d’abord ? Je vais te le dire. C’est avouer que l’on est malade de peur…Tant que tu ne reconnais pas que tu es malade, tu ne pourras pas te soigner. Et sans soin, la maladie s’aggrave, jusqu’à te faire frôler la mort et peut-être même jusqu’à t’envoyer dans l’au-delà. Bon, c’est encore une image, mais dis-moi, quelqu’un qui ne vit pas, ça s’appelle bien un mort, non ?! Un mort-vivant ?

    Donc, c’est utile pour toi d’abord, et peut-être qu’en parler aux autres – des proches, et surtout des professionnels comme des psy – c’est un premier grand pas vers la guérison.

    Identifier

    Toutes les peurs ont des noms. Même celles qu’on a peine à identifier, qu’on ne peut ou ne veut s’avouer. On peut alors les appeler “peurs anonymes” ou “peurs inconnues” (à moins que ce soit la peur de l’inconnu…).😉

    Il existe des tonnes, pour ne pas dire des mètres de peurs ! Cette étape est très importante : il s’agit de dresser une liste où sont répertoriées toutes nos peurs !

    La mienne a ressemblé au tapis rouge déroulé au Festival de Cannes : 60 mètres. Bon, changé 3 fois par jour pendant 10 jours, ça en fait des mètres ! Je te laisse calculer ? 

    J’ai fait le tour des 7 domaines de ma vie, et il y en avait de logées partout ! Je te fais un inventaire rapide, raccourci et incomplet : peur de manquer, peur de la solitude, peur des agressions, peur des attentats, peur du regard des autres, peur de me perdre, peur du noir, peur de mon père, peur de mon banquier, peur du rejet, peur des asticots, peur de manger une pomme sur l’arbre à cause des asticots, peur du brouillard qui ressemble à des spectres, peur des accidents de voiture, peur d’une panne d’essence, pfff. J’arrête… Ça sera bientôt ton tour !

    Décider 

    D’en finir avec ses peurs. Ouh laaa ! C’est une décision difficile à prendre. Tu ne vas pas prendre l’ordonnance, aller à la pharmacie pour ensuite dire au docteur que tu revois 3 mois après : “Ben, finalement, je n’ai pas pris le traitement.” Décider, c’est décider d’agir et d’arriver au bout de son engagement.

    J’ai décidé. J’ai poussé un hurlement intérieur. Comme j’étais dans un séminaire avec une cinquantaine de personnes, j’ai “contenu” le son, sinon, je pense que j’aurais été embarquée par la Sécurité 😄. Puis, j’ai vidé un paquet de kleenex, et enfin je me suis dit : “Je le fais, c’est maintenant ou jamais, je veux vivre, crotte de bique, à la fin !” J’ai franchi le pas : j’ai signé un contrat de rupture avec mes peurs.

    sEngager 

    J’ai tiré sur chaque peur à bout portant. Une fois le cri évacué, les mouchoirs à la poubelle :

    J’ai commencé un nouveau départ

    • J’ai jeté les (mauvais) souvenirs déclencheurs de peurs. 
    • J’ai arrêté de jouer avec mon imagination (sauf avec mes neveux pour les faire rigoler). 
    • J’ai arrêté d’écouter les médias qui te mentent, grossissent les faits et créent la paranoïa (je n’ai pas de TV).
    • J’ai divorcé avec les relations parasites avec lesquelles j’entretenais mes peurs.
    • J’ai nettoyé mon système de pensée (et l’actualise tous les jours !)
    • J’ai commencé un nouveau régime : des pensées saines et positives, bénéfiques pour mon corps, mon âme et mon esprit à l’aide de la méditation, de la prière, de lectures nourrissantes…

    J’ai dû travailler sur…

    • La maîtrise de soi
    • Le regard des autres : ne plu en tenir compte
    • Le sens à donner à ma vie, en observant les gens, les situations avec un regard neuf et ouvert
    • L’échec, le comprendre et l’analyser, réaliser que le “non” n’est pas toujours refus négatif mais qu’il est aussi destiné à nous apprendre, à nous faire grandir
    • La comparaison : en finir avec
    • Certaines addictions et mauvaises habitudes : les arrêter
    • Mon potentiel enfoui : réveiller ma créativité 
    • Mes expériences : les (ré)utiliser
    • LA bonne attitude à adopter (proactive)
    • Mon potentiel : croire que j’en ai un !

    Et faire confiance en la vie !

    Oui, rien que ça.

    Sauter  

    Non dans le vide ou sur une mine, mais les deux pieds dans la voie du bonheur en réalisant mes rêves, mes projets. Aujourd’hui, l’écriture – ma passion – me fait vivre, j’aime ce que je fais, j’aime ma vie, tout simplement. J’aime qu’elle soit riche en rebondissements et non linéaire. C’est vrai qu’elle est traversée par une grande route d’inconnues, mais c’est une vie d’aventure que je n’échangerai pour rien au monde. Car j’ai la certitude que tout ira bien, toujours, dans les vallées comme sur les sommets, parce que tout est question de regard, d’attitude… et de pensées !

    Ces 5 étapes ont été essentielles. Elles ont changé le cours de ma vie ! Elles m’ont aidée à briser ces peurs, puis, plus tard, à franchir un autre cap : sortir les deux pieds de ma zone de confort pour vivre encore plus libre, plus heureuse, hors de mes limites étriquées. J’ai dû vaincre une toute dernière peur qui restait ancrée.

    Depuis, je fais confiance en la vie, en cet Architecte de l’univers qui m’a créée heureuse dès la naissance et pour que je le reste.

    Alors, tu sautes ?

  • Se débarrasser des peurs qui nous empoisonnent la vie

    Se débarrasser des peurs qui nous empoisonnent la vie

    La peur est vicieuse ; elle s’insinue tel un serpent, sans bruit, qui fait son nid, pond des œufs et donne naissance à des dizaines d’individus qui à leur tour, prolifèrent, se reproduisent à l’infini. Cette image te dégoûte ? Tant mieux, car je souhaite que tes peurs te répugnent autant sinon plus que ces reptiles au point de les chasser définitivement de ta vie. 

    Si tu aimes nos amis rampants, alors j’ai une autre comparaison pour toi : quel effet cela te fait d’être ligoté(e) par des peurs comme un saucisson (qui va finir dans un estomac, en plus !)? Cette vision n’est pas plus agréable, je te l’accorde. 😊

    • Parce que la peur a fait d’énormes trous dans ma vie, difficiles et longs à combler pour certains 
    • Parce que la peur m’a privée même de banalités du quotidien, des petits plaisirs de la vie
    • Parce que la peur m’a volée même mon identité, ma liberté, ma santé, mon équilibre

    J’ai dit, un jour, : “STOP ! Je veux vivre libre ! Je veux faire le mur et voir du pays !” Alors, j’ai pris mon courage à deux mains…

    Une peur (bleue) qui nous en fait voir de toutes les couleurs !

    La peur vit dans une famille nombreuse : timidité, crainte, angoisse, stress, panique, anxiété, inquiétude, appréhension, vertige, trouille, terreur, phobie, trac, répulsion… Elle nous alerte d’une menace ou d’un danger, elle n’est pas un problème tant qu’elle joue son rôle de système d’alarme. 

    Quand elle devient irrationnelle et non fondée, c’est là que ça se complique. Car non seulement elle peut paralyser notre corps, mais elle nous empêche aussi de vivre.

    Quand on comprend le mécanisme de la peur et toutes ses conséquences, les nombreux dégâts qu’elle engendre, il est plus facile de s’en débarrasser, comme d’une maladie que l’on veut soigner pour guérir. Sinon, un mal non traité s’aggrave au risque d’en mourir. On dit bien “mourir de peur” ! 

    La peur par étape

    Elle passe par nos pensées

    La peur provient parfois de suppositions, de scénarios catastrophe que l’on va puiser dans notre imagination ou nos souvenirs, ou encore conditionnée par notre famille ou la société. 

    • Notre mère, qui a peur des araignées, peut tout à fait nous communiquer son arachnophobie.
    • Tous les barbus sont des terroristes, ce cliché est devenu une peur sociétale.
    • Je me suis fait mordre à 8 ans, depuis, j’ai une peur panique des chiens !

    Elle s’attaque à notre corps

    Elle se communique d’abord à notre cerveau en provoquant un signal qui va déclencher des symptômes : frissons et sueurs froides, tremblements, nausées, tétanie, spasmophilie, bouche sèche, mains moites, bégaiement, vomissements, évanouissement… 

    Et plus grave, des maladies : dépression, dérèglements comportementaux, T.O.C (troubles obsessionnels compulsifs), paranoïa, problèmes psychiatriques…

    Elle devient une habitude

    La peur s’est installée, telle une mauvaise habitude qui revient systématiquement dès que la situation se présente à nouveau. Un obstacle, un danger, un souvenir… et ça hurle dans la tête, ça bloque le corps, ça pourrit la vie !

    Tant que l’on ne connaît pas le code pour arrêter l’alarme, à chaque intrusion, la peur va se déclencher automatiquement, par autoprotection, en mode défense. Et bam, la grille s’abaisse et on se recroqueville derrière. 

    Elle est incontrôlable, pire : elle nous contrôle !

    La peur m’a rendue malade, captive, malheureuse, handicapée et stupide, aussi. Tant que j’ai refusé d’affronter mes géants, ces monstres qui m’effrayaient depuis ma plus tendre enfance et ceux qui se sont multipliés par la suite,  je me suis laissée contrôlée, dominée, attachée… Imagine : à 18 ans, je n’avais toujours pas pris le train : peur des agressions, de me perdre, du regard des autres…

    Tant qu’on ne les abat pas, on les rencontrera encore et encore, dans un cycle infernal. J’ai préféré souffrir que de les combattre pendant si longtemps ! Certains étaient dérisoires, inexistants, inventés, exagérés…

    Bref ! Un jour, j’ai donné un coup de pied dans la fourmilière et toutes les fourmis sont sorties. C’était plutôt stupide, car c’est compliqué d’éradiquer toutes les peurs en même temps ! Une après l’autre, c’est déjà très bien !

    Pour guérir, il faut attaquer le mal à la racine

    La plupart du temps, on ne guérit pas, on colmate. On pose des rustines sur nos trous au cœur, on bande notre âme malade. On nous fait avaler des pilules roses pour lutter contre la dépression (mal de vivre) et bleues contre l’anxiété (peur de vivre). On offre aux “malades” de notre société des substituts au bonheur, sous forme d’addictions ou de plaisir déguisé. Si tu veux creuser le sujet, je t’invite à lire cet article Le plaisir met-il fin au tourbillon de nos pensées ?  

    Un mal sociétal

    Notre société est ainsi faite ! Elle n’a pas de remède ni de réponse à nos souffrances, alors elle propose des pansements. Pourtant, il existe une vraie solution à nos douleurs, accessible à tout le monde, que tu découvriras tout au long de ce parcours. 

    Déraciner, c’est compliqué !

    C’est enfoui si profondément qu’il faut une foreuse pour y parvenir ! Oui, encore une fois, pour vaincre ses peurs, il faut le décider. Et pas se contenter de vivre une vie peureuse, en se cachant derrière la prudence ou la méfiance, cette structure qu’on a construite comme un mode de vie pour se protéger, pour se défendre.

    Il s’agit de démonter tous les rouages de la peur. Leur origine, les barrières auto-protectrices, les résidus (comme le rejet), leurs points faibles (certaines peurs sont ridicules : inquiétudes, appréhension…), leurs points forts (crises d’angoisse, cauchemars…).

    Interroge-toi sur le bien-fondé de tes peurs 

    Es-tu du style à penser au pire qui n’arrive jamais ? Sinon, imagine le scénario catastrophe dans un contexte bien précis, comme la peur de prendre la parole en public. Et remonte vers le meilleur, car le pire ne se produit quasiment jamais. Si tu crois que tu vas te prendre des tomates dans la figure, que tu vas te faire virer parce que tu bafouilles en réunion, quelle est la probabilité que cela se produise vraiment ? On se moquera peut-être de toi, mais dans une semaine, personne n’y pensera plus. Tu vois, c’est bien moins pire qu’un masque à la tomate ou pointer chez Pôle Emploi…

    Parfois, la peur de quelque chose ou de quelqu’un est pire que l’objet de notre peur.

    Tous les “films d’horreur” que tu as imaginés se sont-ils vraiment produits ? Quel en est le pourcentage ? Sincèrement ?…

    Relativiser… 

    Et alors ? Le ridicule ne tue pas ! Vas-tu te liquéfier sur place, parce que tu vas entendre quelques ricanements ? Il y a plus grave, non ?!

    Passer à l’action !

    Et puis, si tu veux vraiment arrêter de rougir ou de buter sur les mots, entraîne-toi.  Prends des cours de théâtre, soigne-toi en trouvant le remède adapté : exercices de diction, coaching, répétitions devant la glace. Sois créatif(ve) !

    Pas encore prêt(e) à déraciner ?

    S tu décides de ne rien faire, du moins pas encore, alors tu garderas cette peur et tu vivras d’autres scénarios. Peut-être que tu passeras à côté d’une promotion, d’une carrière plus prometteuse et d’une vie heureuse.

    Lorsque vous réalisez que vos peurs sont exagérées, vous déciderez plus facilement de les affronter.” (Mo Gawdat)

    J’ai attendu trop longtemps pour réaliser que la peur gâchait mon existence. Personne ne m’a vraiment encouragée à les combattre. C’est uniquement ma prise de conscience qui m’a poussée à entrer en action.

    J’ai accepté de fournir les efforts nécessaires, de rassembler l’énergie indispensable pour “dégommer” chaque peur responsable de mon malheur. C’est à ton tour de les affronter. Et dis-toi que la plupart de tes peurs sont irréelles, elles n’existent que dans ton imagination.

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  • Une des facettes du bonheur : être en perpétuel apprentissage

    Une des facettes du bonheur : être en perpétuel apprentissage

    Qui n’est pas en lutte contre ses pensées ? Sommes-nous toujours conscients que certaines agissent comme des flèches empoisonnées ? La plupart vient peu à peu détruire nos rêves, nos projets, jusqu’à transformer notre vie, en vie médiocre et étriquée, parce que l’on se résigne à ce que l’on pense et que l’on finit par croire.

    Nos paroles ont un pouvoir de vie et de mort, alors que choisis-tu, aujourd’hui ? La réussite ou l’échec ? L’obscurité ou la lumière ?

    J’ai déjà donné plusieurs clés pour reformater notre système de pensée que tu retrouveras dans ce blog en cliquant ici. N’hésite pas à me donner ton avis dans les commentaires.

    Une autre façon de remplacer ses pensées négatives pas de bonnes pensées :  c’est nourrir sainement son esprit. Il n’y a rien de tel… qu’apprendre ! Se former ! Cette démarche s’appelle également “développement personnel”, destiné à nous faire grandir, avancer, progresser, à s’améliorer, toujours dans cette quête du “meilleur moi”. Apprendre te conduira à coup sûr sur la voie du bonheur après lequel nous sommes nombreux à courir.

    Si pour certains la lecture est un plaisir, l’apprentissage une source de bonheur, pour d’autres, c’est un vrai cauchemar. Je vais alors t’encourager de ce pas : 

    Afin de vivre libre et joyeux, tu dois sacrifier l’ennui. Ce n’est pas toujours un sacrifice facile.” (Richard Bach)

    “Ennui”, mais aussi oisiveté, temps gaspillé en futilité… Peut-être pas facile, mais utile et indispensable ! Second encouragement :

     “Sèmes un acte, tu récolteras une habitude ; sème une habitude, tu récolteras un caractère ; sème un caractère, tu récolteras une destinée.” (Da Laï Lama) 

    Si tu veux trouver un bon moyen pour en finir avec ton système de pensée défectueux, alors explorer le monde du Savoir et la Connaissance en est un excellent !

    Un remplacement judicieux

    Pour une boulimique de la lecture et des podcast comme moi, j’ai troqué mes soirées-séries Netflix par un bon bouquin au lit… Couchée à 21h au moins trois fois par semaine, 2, 3 ouvrages à portée de mains sur la couette, je me plonge dedans comme se plongerait un dauphin affamé dans un banc de sardines.

    Bon, tu vas peut-être penser que c’est mon job. En réalité, j’ai le goût de la lecture – et de l’écriture – depuis ma petite enfance ! Il faut dire que mon père a été imprimeur-éditeur et que j’ai baigné dans une atmosphère bibliophile depuis toute gamine.

    Alors, je pousse mes lectures plus loin, dans un apprentissage qui va me nourrir, me délecter à me lécher les doigts et les babines, car je réagis un peu comme un autiste (Tu vas me prendre pour une femme zarbie ?) : je vois des phrases clignoter un peu partout et je les extrais tel du nectar dans de jolis petits carnets qui traînent ça et là chez moi. Ou bien je les note ou sur mon smartphone…

    Tu trouveras d’ailleurs un bon nombre de ces citations dans mes écrits. Toutes ces lectures alimentent mes pensées. Elles soulèvent des réflexions qui prendront la forme d’articles un jour ou l’autre, quand je les aurai testées, décortiquées, analysées et… approuvées dans mon quotidien. Sans quoi tout ce que je te raconte ici ne serait que du vent ou un tissus d’allégations.

    Je n’ai pas réponse à tout, certes. Et quand je n’ai pas de réponse, je préfère chercher, fouiller, interroger les sages que je croise. Et je recommence le cycle du test avant de recommander quoi que ce soit. Comme une recette de cuisine que je vais tenter avant de la partager : je vérifie sa saveur !

    Et puis, tous les jours, à raison de 1-2 audio par jour (parfois dans les embouteillages, ou quand je fais de longs trajets), j’écoute, j’écoute seulement car impossible de prendre des notes au volant ! J’avale comme un bon petit plat et je suis rassasiée. Jusqu’au lendemain.

    Mais elle écoute quoi ? Elle lit quoi ? Je vais te dire… Patience.

    Tout cela pour te dire, que si tu loupes l’épisode 7 de la saison 4 du Dr House, demande-toi ce que tu en retires, une fois que tu éteins écran et lumière ? Pas grand’chose, allez, avoue. C’est ce que je me suis dis, après avoir ingéré frénétiquement une ou deux bonnes centaines de séries depuis quelques années (impossible de compter !). Je ne m’en souviens que de très peu, sinon, de La petite maison de la prairie. Non ! C’était une blague ! 

    Pour transformer ses pensées, sa vie, sa destinée

    En revanche, je peux te parler des pensées que tu peux transformer, grâce à mon apprentissage, et de toutes les idées que j’aime partager pour que tu te sentes heureux(se), là où tu te trouves. Il n’y aucune raison que tu n’y parviennes pas, alors que moi aussi, je marche sur la route du bonheur que j’entretiens chaque jour.

    Comment l’entretenir, ce bonheur ? Eh bien réalisant tous les jours – tous les jours, oui, comme lorsque l’on entretient sa santé par des exercices quotidiens – que tout nous est offert sur la terre : le souffle de vie, la santé, le travail, la nourriture, bref, tout ce qu’il y a dessus, dessous… Que c’est à portée de nos mains, et qu’il en est de notre responsabilité d’en faire bon usage. Tu te souviens ? J’ai abordé la notion de la gratitude qui fait partie des bonnes attitudes à cultiver pour être heureux. Sinon, (re)lis cet article : Une des facettes du bonheur : cultiver l’esprit de contentement.

    Et puis tout le reste : les réseaux sociaux, la télévision, les écrans, je ne te dis pas de tout stopper, mais à consommer avec modération si tu veux trouver le temps pour entreprendre – un peu, beaucoup, passionnément – des séances d’archéologie pour trouver le bonheur. Tu n’as pas à creuser trop en profondeur, mais à persévérer seulement. Car cela te demande effort, constance, discipline, et au bout, tellement de joie, je t’assure !

    Apprendre quoi ? 

    Tout ce qui t’élève, t’enrichit, te nourrit, te permet de progresser, de t’améliorer, de te sentir mieux, à ta place, bien dans des baskets ! Tout ce qui va contribuer à ton épanouissement, ta culture, ton développement personnels.

    Je ne parle pas de uniquement de philo ou de spiritualité, mais aussi de se former, d’apprendre :

    • Une langue ? 
    • Un art ? 
    • Une technique ?


    Es-tu curieux(se) ? Ou te contentes-tu de dire : “Je ne sais pas” ? Tu peux avoir l’humilité de dire : “Je ne sais pas” et dans la tête la motivation d’apprendre…

    Pour être honnête avec toi, tout m’intéresse ou presque ! Je n’aime pas trop la politique ni le sport, sinon pratiquer ce dernier pour rester en forme et garder les bonnes formes au bon endroit. 😉

    Je suis curieuse sur presque tout, et je suis parfois enragée de ne pas avoir plus de temps, d’espace pour sculpter, peindre, jardiner, coudre, faire des bijoux, apprendre à dessiner, créer des objets, repeindre des meubles. Il est vrai que j’ai commencé certains apprentissages que j’ai abandonnés au profit d’autres, plus utiles. Et parce que mes goûts changent, comme moi.

    Tu vois où je veux en venir ? L’action a toujours été bénéfique dans ma vie, car je me sens vivante quand j’accomplis des choses que j’aime. J’ai vraiment ce privilège de faire uniquement ce que j’aime ou me passionne. Et dans le repos, je lis, je bricole, je cuisine… ou j’écoute de la musique, je chante aussi ! 

    Bref, j’ai décidé d’être heureuse, parce que c’est bon pour la santé ! (Voltaire)

    Et toi, vas-tu te décider ?


  • L’amour est une facette incontournable du bonheur

    L’amour est une facette incontournable du bonheur

    Si l’on prenait conscience de tout ce qui nous empoisonne, de tout ce qui est à l’origine de nos souffrances, et nous prive de toute forme de bonheur, serions-nous prêts à nous en débarrasser ? Par tous les moyens ? Et le plus vite possible ?

    Si cette introduction déclenche un grand “OUI” dans ta tête, alors je te félicite pour ton honnêteté. Si c’est “non”, pareil ! Et… persévère ! Tu peux prendre aujourd’hui la décision qui va te permettre de rééquilibrer ta formule du bonheur grâce à un paramètre très important : l’amour.

    Dans notre quête du bonheur, il est essentiel de s’attacher à une bonne définition de l’amour pour éviter les impasses. Cette autre facette du bonheur viendra ensuite éblouir ta piste de danse, comme celle-ci : l’esprit de contentement.

    Je vais même aller plus loin en t’affirmant que l’amour est un pilier du bonheur, sans lui, pas de bonheur possible. Je ne suis pas la seule à le croire :

    Vous cherchez le bonheur ? Alors, aimez, car seul l’amour apporte le bonheur.” (Omraam Mikhaël Aïvanhov)

    On reprend tout depuis le début ? 

    C’est quoi, l’amour ?

    Un concept abstrait à 4 côtés 

    L’amour, c’est un concept abstrait, dit le Larousse, très difficile à expliquer, plus simple à expérimenter. C’est un sentiment intense qui exprime l’attachement et pousse deux personnes qui s’aiment à rechercher la proximité physique, intellectuelle, spirituelle…

    Riche en variantes comme la tendresse, l’affection, la dévotion, la passion, l’attachement… l’amour donne naissance à une grande palette d’émotions, positives et négatives. Il est souvent symbolisé par le cœur, cet organe dont les battements modulent selon l’intensité de ces dernières.

    La Grèce antique a distingué 4 sentiments dans l’amour : l’éros, la philia, l’agapè et la storgê. (Source Wikipédia)

    1- L’éros, qui a donné le mot “érotisme”, qui s’apparente à l’amour romantique, décrit par les poètes. Parfois passionné, il s’accompagne systématiquement ou presque de désir sexuel.

    2- La philia correspond à l’amitié telle qu’on la définit de nos jours. Elle naît d’une forte estime ou affinité réciproque entre deux personnes jusqu’à l’entraide, impossible d’exister, à l’époque, entre deux personnes du même sexe, en raison de l’inégalité entre l’homme et la femme.

    3- L’agapè désigne l’amour du prochain, qui ressemble à l’altruisme aujourd’hui, ce que l’on appelle aussi “don désintéressé”, “charité”. Il se caractérise par sa spontanéité. Ce n’est pas un acte réfléchi ou une forme de politesse, mais une réelle empathie pour les autres qu’ils soient inconnus ou intimes. Dans le christianisme, il est utilisé pour exprimer l’amour “divin” et “inconditionnel”. 

    4- La storgê définit l’amour entre parents et enfants, particulièrement l’amour entre une mère et son enfant, qui signifie “prendre soin”.

    Je me suis également penchée sur la définition d’un révolutionnaire de l’amour : un maître charpentier qui a vécu, il y a 2000 ans en Palestine, je te laisse deviner qui c’est 😉 Mon ami Charly parle de cette figure mystique dans une thématique à laquelle tu pourras accéder au troisième mois du voyage.

    Une définition révolutionnaire !

    Je t’avoue avoir été émerveillée (et l’être encore). La barre est peut-être haute mais accessible, et dans cette démarche, je fais confiance à l’apprentissage !

    Jésus a montré comment aimer, alors qu’il allait être trahi par les siens (les Juifs), abandonné par sa famille et ses amis. Il a poussé l’exemple très, très loin en donnant sa propre vie, preuve ultime de son amour pour les hommes. 

    Cet amour-là m’a tellement bouleversée que je l’ai étudié à la loupe et l’étudie encore.

    Voici ce que ça donne :

    Définition 

    “L’amour est patient, l’amour rend service. Il n’est pas jaloux, il ne se vante pas, il ne se gonfle pas d’orgueil.

    L’amour ne fait rien de honteux. Il ne cherche pas son intérêt, il ne se met pas en colère, il ne se souvient pas du mal.

    Il ne se réjouit pas de l’injustice, mais il se réjouit de la vérité.

    L’amour excuse tout, il croit tout, il espère tout, il supporte tout.

    L’amour ne disparaît jamais.” (La Bible)

    Concrètement, comment aimer et être aimé(e) en retour ?

    Qui peut prétendre aimer ? Connaître l’amour véritable ? Déprécié, copié, trompeur, manipulateur, trahi, déformé, on ne sait plus ce qu’est aimer, être aimé. On aime, mais au moindre grain de sable dans notre belle romance, on n’aime plus. Ou bien on confond l’amour avec le désir sexuel.

    Je m’inspire beaucoup de Jésus, qui a dit encore ceci : “Ce que vous voulez que les hommes fassent pour vous, faites-le de même pour eux.

    Je l’ai traduit ainsi : pour être aimé(e), il faut aimer. Le manifester en gestes concrets, bienveillants qui consiste à donner. 

    Tu t’es sans aucun doute aperçu(e) de l’effet boomerang d’un acte ou une parole : “Le bienfait revient toujours à la porte de son auteur.” (Abraham Lincoln) Le meilleur moyen d’être aimé(e) consiste en toutes sortes d’actions car les paroles sont insuffisantes. 

    “Dire ‘je t’aime’, c’est bien. Le démontrer, c’est mieux !”

    Voici des approches simples pour (mieux) aimer : ses proches, sa famille, son(a) conjoint(e) et M. & Mme Tout-le-monde 😊

    7 principes à adopter

    1. Positionne-toi dans le statut du donneur et non du quémandeur. 
    2. Ouvre-toi aux autres, avec douceur et patience.
    3. Ne t’impose pas, respecte l’espace et la fréquence que l’autre a instaurés.
    4. Veille à la tonalité de ta voix, au choix des mots : est-ce utile ? Encourageant ? Intéressant ? Valorisant ?
    5. Le langage corporel est aussi important que les mots : évite les bras croisés, le dos tourné.
    6. Pratique l’écoute active en t’intéressant à l’autre.
    7. Tu en apprendras beaucoup plus en posant des questions ouvertes (qui attendent des réponses autres que “oui” ou “non”).

    Ne te décourage pas ! Persévère dans tes tentatives.

    “Ton échec d’aujourd’hui n’est que la graine du succès de demain.”

    Quelques exemples concrets de gestes d’amour/bienveillants

    • Souhaiter les anniversaires : avec Facebook, aucun oubli possible !
    • Aller parler avec la petite mamie seule sur un banc public
    • Ranger la poubelle de son voisin
    • Porter les sacs de courses d’une femme enceinte dans sa voiture
    • Garder les enfants d’une amie pour un tête-à-tête avec son mari
    • Prendre un auto-stoppeur 
    • Céder sa place dans la file d’attente à quelqu’un de pressé
    • Saluer le chauffeur de bus qui t’a déposé(e)
    • Remercier son petit dernier qui a bien rangé sa chambre
    • Remercier son chéri de rentrer plus tôt avec un petit dîner aux chandelles
    • Etc.

    Tous ces actes bienveillants vont faire plaisir et te faire plaisir. Ils dissiperont ta mauvaise humeur, ta tristesse et tes contrariétés. Tu ne seras plus focalisé(e) sur tes problèmes mais sur les besoins ou les attentes des autres. Bon, sans t’oublier non plus, bien sûr ! 

    Plus tu en prendras l’habitude, plus tu en retireras les effets bénéfiques. Parfois, tu auras des retours de ceux auxquels tu ne t’attendais pas, parfois rien du tout… Mais retiens ceci : ton bonheur s’épanouit dans l’amour, dans ta contribution au bonheur d’autrui.

    C’est le moment d’être heureux. C’est l’endroit pour être heureux. Et pour être heureux, rendez les autres heureux.” (Robert Ingersoll)