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  • On adopte la science naturellement dans la vie de tous les jours

    On adopte la science naturellement dans la vie de tous les jours

    La science joue un rôle primordial dans notre quotidien… Certains d’entre nous ressentons le besoin de suivre la voie de la connaissance et de la science pour s’accomplir. Pour trouver un sens à leur vie, une raison à leur présence sur Terre. Pour beaucoup, la science représente la fondation la plus solide sur laquelle toute organisation humaine peut s’appuyer pour perdurer.

    Aussi, dès l’école, on apprend à devenir un scientifique, et même ceux qui s’orientent vers des voies opposées, côtoient la science, malgré eux, car elle est omniprésente dans la vie de tous les jours.

    Notre apprentissage sur les bancs de l’école

    À l’école, les professeurs nous enseignent des matières comme la physique. La physique est la science qui tente de comprendre, de modéliser, voire d’expliquer les phénomènes naturels de l’univers. Elle correspond à l’étude du monde qui nous entoure sous toutes ses formes, des lois de sa variation et de son évolution. 

    Certains élèves ont pu apprendre des domaines comme la métrologie, l’astronomie, l’imagerie médicale ou le nucléaire. Ou bien encore la biologie qui consiste à étudier un être vivant et son fonctionnement.

    Les options scientifiques nous permettent de comprendre le monde qui nous entoure. La technologie, par ailleurs, faire partie intégrante de notre vie. La technologie, c’est un domaine qui regroupe différentes branches techniques comme l’automobile, l’aéronautique, la télécommunication, le bâtiment, l’électroménager, la photographie, l’informatique et bien d’autres encore.

    La science expérimentée personnellement

    Des objets du quotidien

    Sans les sciences, on utiliserait des objets sans connaître leur fonctionnement. 

    Par exemple : 

    • Comment fonctionne notre machine à laver
    • Comment allumer notre ordinateur
    • Comment marche un rasoir électrique ?
    • Pourquoi un sèche-cheveux souffle-t-il de l’air chaud ou froid ?  

    Dans nos vies, on a tous eu l’occasion de faire nos propres expériences pour explorer le monde, chacun à son niveau, de différentes manières.

    En mode observation

    Il ne faut pas avoir forcément des jumelles ou un télescope pour observer ce qui se passe autour de nous. En revanche, un esprit curieux et ouvert, des yeux attentifs et observateurs sont capables de voir que la science se faufile partout dans nos vies.

    As-tu déjà eu l’occasion de voir une éclipse lunaire ou solaire, deux phénomènes aussi beaux et émouvants l’un que l’autre, et qui durent quelques secondes ?

    As-tu déjà observé le ciel en pleine campagne, loin de la pollution lumineuse, te permettant de découvrir des myriades d’étoiles ? Pour ton information, sache qu’il en existe d’autres que La Voie lactée. Pourtant, elles font aussi partie de notre galaxie, qui contient, dans sa longue traînée blanche un ensemble de 100 milliards d’étoiles, ces étoiles que tu observes sans jumelles, à l’œil nu.

    Tu as peut être déjà fait rouler sur lui-même un globe terrestre, observé, interrogatif(ve) un planisphère géant, ce bel objet pratique pour découvrir la Terre et nous permettre de nous positionner en même temps dans l’espace. J’en possède une moi-même, que j’ai affichée chez moi.

    Si tu es un passionné(e) comme moi (et une tête en l’air ?!), alors tu lèves souvent la tête pour observer le scintillement des étoiles. Et tu regrettes certainement les cours où tu as pu observer une cellule à l’aide du microscope. Sensation garantie !

    Et la tête sous l’eau, as-tu essayé : avec ton tuba, un masque, et ton matériel d’apnée d’observer la vie ? 

    Et puis, plus banal, parce qu’on l’utilise tous les jours : le GPS pour emprunter la bonne direction et t’indiquer ta route ? 

    La liste n’en finit pas…

    Tu as certainement eu l’occasion de mélanger des produits entre eux, comme la peinture par exemple ? Ou enfant, tu as demandé à tes parents de t’acheter une mallette de docteur ?

    Littérature et cinéma

    Tu dois te souvenir de lectures et de films phares, du célèbre dessin de Leonard de Vinci, les Mangas et les jeux vidéo, avec des lunettes 3D… Nostalgique ? Moi aussi ! Tu t’es peut-être même identifié(e) à des savants, des agents secrets, des chercheurs ou même un super héros !

    Combien d’entre nous avons lu les livres et vu les films qui nous fascinent sur nos origines et notre but sur Terre comme :

    • Matrix : Neo, un pirate informatique, découvre que la réalité n’est qu’une immense simulation créée par la “Matrice” qui a pour objectif de réduire l’espèce humaine en esclavage…
    •  Superman : un super-héros doté de pouvoirs physiques, extra sensoriels, gravitationnels et mentaux qui cherche à comprendre l’origine de ses pouvoirs et sauve l’humanité d’une grande menace : l’arrivée du général ZOD, un kryptonien qui cherche la vengeance…
    • Armageddon : une catastrophe naturelle majeure qui détruirait la planète Terre dans le futur)
    • Retour vers le futur : le voyage dans le passé d’un adolescent à bord d’une machine à voyager dans le temps pour retourner à son époque d’origine. 

    La science-fiction permet d’aborder des questions d’aujourd’hui – liées à l’écologie, la sociologie, le rôle des médias, la nouvelle technologie, l’histoire, etc. – et aussi des questions universelles comme la place de l’homme dans l’univers, la vie et la mort, et même l’existence d’un créateur.

    Tu connais peut-être la série Macgyver, un agent secret qui met en pratique, d’une façon ingénieuse, des sciences et de l’ingénierie combinée à l’utilisation des objets du quotidien d’une manière inédite. Il trouve une multitude de solutions étonnantes pour résoudre des problèmes comme le désamorçage des charges explosives. Je ne loupais aucun épisode ! J’étais déjà une mordue des sciences !

    Tu as peut-être fait un tour au musée l’art du dessin et de la peinture pour admirer les œuvres de Leonard de Vinci : la science et la technique ? Sinon, jette un œil sur ce site. 

    Récemment, un collègue m’a proposé d’explorer plusieurs pays avec des lunettes 3D. J’ai choisi San Francisco comme destination et j’avais, en quelque sorte, l’impression, de visiter la ville pour de bon ! As-tu déjà utilisé des lunettes 3D ?

    La science en s’amusant 

    Il y a beaucoup de sites internet conçus pour découvrir la science en s’amusant, comme cite-sciences.fr.

    Les fêtes et les conférences scientifiques

    Plusieurs fêtes et conférences sont organisées chaque année pour tout public destiné à promouvoir la culture scientifique, technique et industrielle. Si tu es intéressé(e), surveille les dates de ces événements ici :

    • terre-des-sciences.fr
    • fetedelascience.fr

    Cette (longue) liste n’est pas exhaustive, et je suis persuadée maintenant de t’avoir convaincu(e) : la science fait partie de notre quotidien…

    Ensuite, lorsque nous nous interrogeons sur l’origine de l’Univers, nous évaluons les preuves et nous les interprétons

    Preuves et interprétations

    La base même de la science est un système de pensée et d’expérience appelée la méthode scientifique. Voici son processus en 3 temps : 

    1. Tu commences avec une idée (une théorie),
    2. Tu crées un moyen concret pour prouver ou réfuter ton idée,
    3. Et tu montres objectivement ce que tu as appris.

    À travers tes études, ton éducation, ton expérience personnelle et tes outils, tu as pu explorer le monde et mieux l’appréhender. Tous les scientifiques ne sont pas derrière un microscope, tu es toi aussi un(e) scientifique ! 

    Es-tu de ceux qui se posent ces questions : 

    • D’où vient l’Univers ? 
    • Quelle est notre place dans l’univers ? 

    Je te propose alors un parcours (une méthode) qui te permettra de comprendre et d’analyser à l’aide de preuves et indices scientifiques l’origine de l’univers. Comme un détective ou un chercheur scientifique, tu te feras une idée plus précise sur la nature de l’univers.

  • Comment bien vivre le changement ?

    Comment bien vivre le changement ?

    Pourquoi c’est si dur de vivre le changement ? Pourquoi n’est-ce pas possible de changer de vie, de mentalité, d’orientation en un éclair ? Une idée de génie, et hop, c’est la transformation assurée ! Un claquement de doigt, et zou, on est une autre personne, avec 10 kg de moins, un visage lissé et un sourire plus blanc que blanc ! On lit quelques bouquins de développement perso et ça y est, on est… parfait… 
    Ah ! Dommage ! Ce n’est pas la réalité !

    Nous désirons tous améliorer notre vie, rendre notre existence meilleure et plus facile, mais nous refusons de changer. Nous préférerions qu’ils changent, mais nous devons d’abord changer intérieurement, c’est-à-dire changer notre manière de penser et de nous exprimer, sans quoi aucun changement extérieur n’est possible.” (Louise L. Hay)

    Je crois que, dans notre subconscient, nous savons que le changement va nous coûter des efforts, des sacrifices, et ouïe, on n’aime pas ça, souffrir ! On déteste, même ! On préfère notre petit confort, même s’il nous ennuie, nous enchaîne, nous déprime. Pourtant, on le veut, ce changement, car on se dit qu’on ne peut plus continuer à vivre ainsi, qu’on est arrivé au bout. Au bout de nos rêves, de nos attentes qui se sont transformés en mirages.

    Si tu réalises que “pas de changement, pas de changement”, alors je reste persuadée que tu seras partant(e) pour accepter au moins ce premier changement dans tes pensées : il est tout à fait possible de bien le vivre (le changement) !

    Personnellement, j’ai toujours raffolé des changements et j’en ai même abusé. Certains étaient intelligents, réfléchis, d’autres, carrément pas. Et mes figures de dominos ont fait très souvent trois pirouettes pour s’échouer lamentablement.

    J’en ai tiré plusieurs leçons (Tu sais, c’est le mot que j’utilise quand je parle de mes échecs 😊) que je te ressers aujourd’hui, et je souhaite ainsi que tu gagnes du temps, en économisant ton énergie.

    Quand je me suis aperçue, à mes dépens, que si je ne sortais pas de ma boucle de scénarios catastrophe, si je ne suscitais aucun changement, je subirais d’autres échecs, alors j’ai accepté de les provoquer.
    Avec les 5 attitudes suivantes, tu finiras par accepter le changement et même à y prendre un certain plaisir.

    Attitude 1 – Se motiver en se fixant des objectifs réalisables

    Rien de plus motivant, voire excitant que de se fixer des buts avec les moyens pour les atteindre. Certains sont très importants, comme : 

    • Obtenir une promotion
    • Se marier
    • Avoir un premier enfant
    • Construire sa maison
    • Reprendre ses études
    • Etc. 

    D’autres sont beaucoup plus simples, et touchent notre quotidien ou notre manière de vivre :

    • Perdre du poids > manger sainement > faire une activité physique
    • Prendre du temps avec ses proches > cultiver la patience > approfondir ses relations
    • Partir en week-end à Londres, Paris ou Barcelone avec des amis

    Quels que soient nos objectifs, il est important de ne pas les perdre de vue et de mettre tout en œuvre pour les réaliser

    💡 Cela implique forcément du changement ! Cela se passe premièrement dans notre tête : le dé-ci-der. C’est au-dedans de nous que le changement va commencer, parce que l’on n’accepte plus la vie que l’on mène actuellement. Parce que l’on veut vivre autrement : heureux(se) !

    Attitude 2 – Accepter la transformation intérieure

    Ce changement doit intervenir premièrement dans notre système de pensée. Adopter la “pensée positive”, mais pas seulement : l’accompagner aussi de paroles positives, de paroles créatives et optimistes, qui déclenchent des actions efficaces. 

    Cette attitude aura un impact considérable sur nos événements, nos rencontres, elle déclenchera “des ouvertures de portes”.

    J’ai accueilli le changement, la nouveauté comme des cadeaux, des défis à relever qui m’ont permis de passer au niveau supérieur, de m’enrichir. Et par conséquent, d’accompagner tous ceux qui souhaitent améliorer leur vie dans le changement. J’ai commencé par modifier mes pensées :

    • Je suis capable
    • Je vais apprendre, m’entourer de professionnels qui me guideront
    • Ce n’est pas que pour moi, cela va aider d’autres personnes
    • Je veux avancer, ne pas me contenter de mes acquis

    💡 Avec ce genre de pensées, je ne laisse aucune place à la peur, au doute, au manque de confiance en moi. Pour cela, je mets en place des stratégies, comme l’apprentissage, la méditation, le repos, les petits bonheurs qui me permettront de garder le cap, sans abandonner sous l’effort parfois conséquent.

    Attitude 3 – Faire preuve de souplesse, d’adaptabilité

    Ce qui doit arriver arrive. Les choses et les gens sont comme ils sont. Je peux accepter ce que je ne peux changer et modifier ce que je peux, n’oubliant pas que les solutions parfaites n’existent pas.” (Lucien Auger, psychologue)

    C’est ce qui signifie être souple et s’adapter. Résister au changement, rejeter la nouveauté ne les empêchera ni l’un ni l’autre, cela doit se produire, point. Et pour éviter une souffrance inutile, il est important de suivre le mouvement et d’abandonner l’envie de nager à contre-courant. Lutter contre le changement, auquel on ne peut rien, va non seulement nous épuiser, mais aussi nous dévier de nos objectifs, de nos rêves, tout en faussant nos raisonnements.

    💡 La seule question à se poser à mon sens est celle-ci : “Comment dois-je vivre ce changement pour éviter de souffrir ?” 

    Et la réponse qui s’impose : “En l’acceptant.”

    Attitude 4 – Dire “non” à la procrastination

    La première règle de la réussite, ne jamais remettre au lendemain l’exécution d’un travail.” (Emmeline Raymond)

    Repousser au lendemain ce que l’on peut faire le jour même cache plusieurs attitudes : la peur de l’événement en lui-même (encore une autre peur !), des actes à accomplir (Suis-je à la hauteur ? Vais-je y arriver ?) ou tout simplement la paresse, eh oui, appelons un “chat” : un “chat”.

    Le danger, dans cette attitude, c’est :

    • De cumuler des retards, se mettant en danger (santé, finances, relations…)
    • De prendre l’habitude de tout remettre au lendemain
    • De se priver aussi des bons moments (parce qu’on craint les mauvais)
    • De laisser filer les bonnes occasions d’améliorer notre vie qui résultent de nos actions, en aucun cas de notre passivité. 

    Si on ne fait rien aujourd’hui, rien ne se passera non plus demain, car certains événements demandent de l’endurance, du temps et de la persévérance.

    💡 J’ai une bonne manière de résister à l’envie de remettre à plus tard : c’est de commencer à faire ce qui me coûte le plus, me demande plus d’efforts, ou que je n’aime pas faire, et terminer par celles que je préfère. 

    “Accepter le changement aujourd’hui, c’est déjà préparer tes lendemains.”

    Attitude 5 – Per-sé-vé-rer sans se re-lâ-cher !

    Autrement dit, ne pas abandonner, quel que soit le prix à payer. Quand tu sens que tu es sur le point de baisser les bras, entoure-toi des bonnes personnes qui sauront t’encourager, te motiver, en te rappelant l’objectif pour lequel tu as entrepris ce changement.

    Persévérer, c’est aussi s’octroyer des pauses, avoir la sagesse de réaliser que si on est au bord de l’abandon, c’est qu’on a besoin de se changer les idées.

    Je te donne déjà ce genre d’astuces pour faire un break dans cet article : 5 clés pour (res)susciter l’état de bonheur.

    Es-tu prêt(e) à relever ce défi du changement de ta vie en adoptant 5 bonnes attitudes ? Alors commence dès aujourd’hui, ne repousse pas à demain😉

  • Le pessimisme est dangereux pour la santé

    Le pessimisme est dangereux pour la santé

    Une étude faite dans les années 2010 a tenté de prouver que le pessimisme est une arme pour lutter contre le vieillissement. C’est ce qu’attestent Frieder Lang et ses collègues de l’Institut allemand pour les recherches économiques. Moi, cela ne m’a pas convaincue pour autant, aussi sérieuse soit-elle. Car, s’il joue son rôle préventif, le pessimisme n’en est pas moins néfaste pour notre bonheur.

    Si tu n’es pas tout à fait conscient(e) que le pessimisme t’empoisonne la vie (et celles des autres), qu’il maltraite ton corps, vole ta joie de vivre, alors laisse-moi te convaincre preuves à l’appui que l’optimisme est beaucoup plus sain. De plus, il est un facteur essentiel à notre bonheur !

    Les origines du pessimisme

    Le pessimisme ne naît pas uniquement des échecs, des difficultés de la vie. Encore une idée reçue que j’ai dû abattre ! J’ai découvert dans un article de Sciences Humaines qu’il peut être transmis dès le ventre maternel. Incroyable ! 

    Voici l’explication. Le système de pensée de la mère se propage via le cordon ombilical, qu’il soit négatif ou positif. Or, les ressentis négatifs seraient mieux captés que les sentiments positifs. Peut-être que cela provient du fait qu’ils soient les plus expressifs ? Les enfants mémorisent puis s’approprient les réflexes maternels. Ils absorbent les inquiétudes, digèrent mal le stress, qu’ils vont ensuite reproduire. Il est même fort probable qu’il ait un terrain favorable à la dépression et qu’il traversera des épisodes dépressifs au cours de sa vie.

    De plus, certains modes d’éducation vont confirmer leur rôle dans la construction psychique d’un enfant. Par exemple, un manque d’autonomie va accentuer le développement du pessimisme, alors qu’un enfant plus indépendant – où le contrôle maternel est plus léger – va favoriser l’optimisme de l’enfant et son épanouissement. Bien entendu, tout cela n’exclut pas l’implication des facteurs génétiques. Parfois, il est préférable d’hériter d’une vieille armoire Louis XVI perforée par les capricornes que du pessimisme de notre mère mal dans sa peau.

    Le pessimisme a du bon quand il joue un rôle préventif !

    Selon les scientifiques allemands, l’optimisme décroît avec l’âge, peut-être parce que le bilan de la vie écoulée n’est pas si terrible. Les jeunes manifestent plus d’espoir, tout en surestimant la réalité. Quant aux quinquagénaires, ils commencent à dévaler la pente de l’optimisme.

    (Je dois être une extra-terrestre… Parce que moi, je vis tout le contraire ! J’ai remonté la côte et je n’ai jamais autant connu de pics positifs, optimistes de ma vie qu’à l’approche d’un demi-siècle ! Plus jeune, jusqu’à mes 35 ans faciles, j’étais à côté de la plaque, j’avais l’habitude de dire que je ne voyais rien se profiler à l’horizon (sinon le pire). Bon, tu l’auras compris, j’ai résolu ma formule du bonheur, alors si tu as envie de trouver ta propre formule, tu sais ce qu’il te reste à faire… Reste sur ce blog ! Je referme la parenthèse !)

    Les personnes âgées, devenues pessimistes, vont consulter plus facilement un médecin pour des problèmes de santé et une prise en charge faite dans les temps leur assurera une vie plus longue. Alors que les optimistes ne s’en préoccupent pas plus que ça ! Ils se montrent plus insouciants (le contraire de soucieux, donc !), ce qui ne signifie pas qu’ils sont plus touchés que les pessimistes. L’étude montre que c’est kif-kif… 

    Le pessimisme fait des dégâts partout !

    À notre corps

    Les personnes pessimistes auraient un surrisque de développer une maladie coronarienne mortelle, selon une étude publiée dans la revue BMC Public Health. Les scientifiques ont fait ce constat : il existe une association significative entre la mortalité liée à cette pathologie et un fort taux de pessimisme. En revanche, l’optimisme ne protège pas ; ils n’ont relevé aucune différence avec le groupe des optimistes.

    À notre tête

    Les personnes qui nourrissent des pensées systématiquement pessimistes accroissent les risques de dépression.

    Les chiffres de la dépression sont alarmants ! 1 personne sur 5 en est atteinte au moins une fois dans sa vie. Le facteur de suicide est important : entre 5 et 20%. Les traitements sont lourds, de longue durée et ne sont efficaces que pour environ 70% des cas. Les risques de récidives interviennent dans 50 à 80% des cas les 5 années suivantes. (Source INSERM)

    Aux autres

    Oui, les pessimistes s’attaquent aussi à notre entourage ! Leurs états d’humeur maussades ruinent leur moral mais pas seulement. Il démontent aussi les projets des autres, car eux-mêmes n’en construisent pas ou plus. Par peur de l’échec, d’une mauvaise expérience car ils supposent tout de manière négative. C’est pourquoi il contestent et contredisent presque tout. 

    Les pessimistes sont contagieux : ils propagent l’angoisse, l’inquiétude, le stress, le doute, la perte de confiance autour d’eux… Leurs suppositions sentent le malheur à plein nez !

    Pour vivre mieux, soyons heureux

    Et donc optimiste ! Si pour vivre vieux et plus longtemps, il faut vivre inquiet et malheureux, moi, ça ne me branche pas. Si on me donnait le choix, je préférerais une vie plus courte et heureuse que l’opposé. 

    Si d’un côté le pessimisme me garantit des maladies parce que je vais alors consulter au moindre doute et probablement prolonger ma vie, de l’autre, c’est accepter l’intolérable : une vie sans joie. Toujours pas d’accord, et toi ?!

    L’optimisme ne protège peut-être pas mon corps, mais il donne une bonne santé à mon moral, à mon âme. Il me maintient dans un bon état émotionnel, dans l’état de bonheur.

    Une personne optimiste ne refuse pas de voir le côté négatif des choses ; elle refuse de s’attarder dessus.” (Alexander Lockhart)

    Comment renverser le pessimisme coupable de ton état de mal-être, de malheur, c’est que je te propose dans cet article : Optimisme vs pessimisme.

  • Que nous disent les religions et les spiritualités sur la mort ?

    Que nous disent les religions et les spiritualités sur la mort ?

    La vie après la mort laisse place à toutes sortes d’hypothèses et de théories les plus “loufoques”, intrigantes et audacieuses. Parmi ces théories, certaines sont plus marquantes que d’autres et méritent que nous nous y arrêtions sans chercher à les réfuter ou les créditer. Que diriez-vous de les explorer ? 

    En voici quelques-unes :

    • Nous serions le fruit d’une création digitale.
    • Nous serions un fragment de conscience appartenant à une conscience d’un ensemble bien plus grand que nous-mêmes.
    • Nous existerions dans des dimensions parallèles sans véritablement être “piégés” par la mort.
    • Nous serions des êtres recyclables gérés par un organisme géant.
    • Nous serons après la mort ce en quoi nous croyons, ainsi maître de notre au-delà.
    • Nous serions le fruit de notre propre imagination, de nos propres rêves.
    • Nous serions des âmes à être en perpétuelle réincarnation.

    Globalement, les religions, ou toutes formes de concepts propres aux spiritualités, ont, sur la mort un discours commun : à savoir que la mort est le terme de la vie terrestre sans être véritablement la fin ultime de la destinée de l’homme. La mort est un passage VERS…

    Mais comment ces théories apportent-elle du sens à la vie (et donc de la mort) que nous vivons ? Les conceptions comme la résurrection ou la réincarnation, la première avec une vision linéaire, et la seconde, cyclique.

    Quelle que soit la conception ou la théorie sur la vie après la mort, le non-maîtrisable, l’irrationnel qu’intègre l’au-delà, fait peur, donne un sentiment d’impuissance, de tristesse, que l’on soit croyant ou non.