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  • Mode d’emploi pour garder ses pensées positives

    Étapes 2&3

    À quoi sert un mode d’emploi ? Logiquement à comprendre le fonctionnement d’un nouvel appareil dont on vient de faire l’acquisition. Ou encore à faciliter le montage d’un meuble en kit. Si on s’en passe, soit on sait faire, soit on veut brûler les étapes, à tort, pour se retrouver bête devant les 36 options de notre téléviseur ou avec 3-4 vis dans la main.

    Il existe véritablement un mode d’emploi pour la bonne utilisation de nos pensées. Sur 60 000 pensées journalières, seules 18 000 sont positives. Cela signifie bien que l’on n’a pas le bon procédé pour améliorer notre “potentiel positif” !

    Dans le premier article, nous avons travaillé à renverser cette mauvaise habitude – celle de mal penser, de trop penser et focaliser sur le négatif – à l’aide de 3 astuces simples comme bonjour.

    Cette fois-ci, nous allons nous pencher sur les deux dernières parties de notre notice sur les pensées. Après le nettoyage du disque dur, voici l’actualisation et l’inévitable “reset”.

    2ème étape- L’actualisation de ton système de pensée

    Ton système de pensée ne fonctionne pas très bien : ralentissement, bug, virus. Des pop-up clignotent toutes les 30 secondes, c’est insupportable !

    Une parole mal interprétée, une remarque désobligeante, quelqu’un qui te pose un lapin, et te voilà parti(e) à cogiter ; tu n’arrives pas à te concentrer sur ta tâche, sur une conversation, et tu reviens sans cesse sur les faits. Cela peut même altérer ton efficacité, ta perception des autres, de l’instant présent. 

    Chez moi, cela a pu provoquer des séries d’insomnies où je revivais la scène. J’en devenais même malade physiquement : maux de tête, douleurs aux cervicales, crampes abdominales. Oui, un peu comme si j’avais attrapé un virus. Et des pensées sournoises, comme des corbeaux noirs, venaient frapper à la fenêtre de mon cerveau peut-être toutes les 10 secondes, oui… Aussi horripilants que ces pop-up qui surgissent sur ton portable !

    C’est bien la preuve qu’il faut lancer une “actualisation”…  

    Une actualisation n’a pas lieu tous les jours, mais de manière régulière. En quoi consiste-t-elle ? Là encore, voici d’autres astuces pour mettre à jour (actualiser) nos pensées.

    12 astuces pour créer de la nouveauté dans son quotidien (1 par mois ?😊)

    Chaque année, à chaque rentrée (au 1er de l’An, après les grandes vacances), on est féru de bonnes résolutions : faire du sport, se coucher tôt, manger sain, être plus patient(e), arrêter de se ronger les ongles, etc. Hélas ! La routine, la fatigue, nos agendas surchargés, parfois le manque de persévérance, viennent terrasser nos engagements, même les plus simples.

    Et voilà que nos pensées tricotent dans notre cerveau, où s’emmêlent culpabilité et découragement :

    • Je n’y arriverai jamais !
    • C’est toujours pareil, je laisse tomber au bout de 3 mois !
    • Rien ne changera jamais !
    • Etc.

    Régulièrement (par semaine, par mois, ou par trimestre), je planifie de petits ou grands événements, comme :

    1. Invitations-repas : je refais le monde avec mes amis avec de la bonne musique.
    2. Balade dans la nature : rien de tel pour s’oxygéner, se dégourdir les jambes.
    3. Atelier bricolage/déco : quand je ponce et bricole pendant des heures, je ne pense à rien !
    4. Soirée cinéma entre amis
    5. Découverte d’un nouveau restau
    6. Suivre les événements de sa ville/de son quartier (brocante, foire aux livres, etc.).
    7. Activité artistique : repeindre des meubles me détend, me délasse.
    8. Participation à des séminaires : spiritualité, développement personnel…
    9. Planification de formations : pour entretenir ma joie (spiritualité, etc.).
    10. Période de jeûne (alimentaire, alcool, écrans, des gens…) : c’est là que j’en profite pour cultiver l’astuce 3 de l’étape 1. (Tu me suis ? 😉)
    11. Inauguration de nouvelles recettes : quand je cuisine, je vide ma tête et procurer du plaisir aux autres me donne de la joie !
    12. Régime vert ou crudivore ou céréalier : j’aime farfouiller de nouvelles recettes pour détoxifier mon corps, reposer mon système digestif…

    Cela a plusieurs avantages : je casse la routine, j’évite le raz-de-marée, j’anticipe avant le trop-plein de mes pensées ! Je remets les pendules à l’heure, révise mes priorités, je fais des mini-bilans tout au long de l’année, avant le fameux bilan de fin d’année…

    💡 Action : la liste n’est pas exhaustive ! Trouve-toi une ou des activités, un nouveau programme, une idée nouvelle, qui couperont ton train-train pour te donner un coup de fouet et balayer tes pensées sombres ou tristes. Surtout, évite la solitude, sauf pour te reposer.

    La vie n’est pas faite d’événements marquants ; elle est faite de simples moments.” (Rose Kennedy)

    Je dis bravo, Rose ! 👏

    3- Le “RESET”

    Certaines ne l’utilisent qu’en cas d’urgence, autrement dit avant ou après le burn out. Oui, un peu comme nos ordis qui plantent ou rament lamentablement. 

    Quand on entretient des pensées noires au point que rien ne peut en changer le cours, c’est peut-être lié à notre état de grande fatigue, de stress qu’on ne peut plus contrôler. Les pensées sont comme des flèches empoisonnées et si tu ne parviens plus à en dévier la direction (ton cerveau), il y a danger.

    Peut-être qu’il faut appuyer sur “reset”, en effet, car les étapes 1 et 2 sont des processus, des habitudes à mettre en place, que tu pourrais trouver trop longues ou contraignantes pour agir sur ton système de pensée.

    Alors cette étape est faite pour toi. Je te recommande cependant de ne pas en abuser, dans la mesure où les deux premières sont si simples à utiliser ! Et se relever d’un burn out peut te prendre 1 à 2 ans, voire plus alors que plus de 2 mois sont nécessaires pour acquérir de nouvelles habitudes. À toi de faire le bon choix !

    Comment appliquer le “reset” concrètement dans notre vie ?

    Un reset dans nos pensées passe obligatoirement par le bouton “off”. Autrement dit : repos, vacances, plages-détente ou arrêt-maladie si tu frôles l’épuisement. Peut-être as-tu la chance de bénéficier de RTT, de vacances scolaires. De t’offrir un week-end prolongé, surtout qu’en France, on n’a pas à se plaindre avec nos 11 jours fériés et les fameux ponts… pour :

    • Rester chez soi et faire des grasses mat’
    • Buller avec un bon livre
    • S’échapper seul, à deux ou en famille
    • Aller se reposer chez des amis

    Je t’encourage à persévérer, car maintenir son état de joie au présent, cela relève d’un apprentissage patient et constant. Jusqu’à ce que tu acquiers des mécanismes et des automatismes.

    Souvent, c’est la pensée et non l’événement qui nous met par terre. Car les pensées ne sont pas toujours une représentation exacte de la réalité ; nous avons tendance à exagérer les faits. 

    Aujourd’hui, je te mets face à une décision : celle d’entreprendre un changement dans tes pensées à l’aide de ce mode d’emploi en 3 étapes.

    • Il influencera peu à peu le cours de tes pensées.
    • Il produira des pensées saines, joyeuses et positives.
    • Il impactera ton état pour le faire remonter peu à peu vers la joie. 

    Tu es prêt(e) à essayer ?

  • Comment changer sa (mauvaise) perception des événements

    Comment changer sa (mauvaise) perception des événements

    Parfois, nous nous obstinons à vouloir changer les autres, une situation, le monde, sinon son monde… alors qu’il suffit juste de modifier son propre regard. De mauvaises lunettes (ou objectif), un manque de recul, un seul angle d’observation, et c’est notre bonheur qui est menacé. On s’est levé peut-être du bon pied, mais la moindre contrariété vient balayer notre bonne humeur.

    Les émotions négatives comme l’anxiété, le mal-être, le découragement, la frustration ou la déception proviennent la plupart du temps de notre manière de juger les événements. Cette dernière est souvent faussée par une multitude de taches aveugles qui obstrue notre vision de la réalité. Pour te rafraîchir la mémoire, (re)plonge-toi dans ces deux articles : Quels sont les filtres qui font obstruction au bonheur ? et Comment renverser les 4 mauvaises habitudes qui nuisent à notre bonheur ?

    Bonheur et malheur résident dans la manière dont nous prenons les choses, non dans la nature même de ces choses.” (Anthony de Mello)

    Voici 3 attitudes que la vie m’a appris.

    1- Changer son système de communication

    Encore un changement ! 

    “Sans changement… pas de changement !”

    Durant une bonne partie de ma vie, j’ai mal pris les propos des uns des autres et surtout certains événements de ma vie. Parce que j’avais une perception erronée de la réalité, en fonction de ce que j’avais reçu de mon éducation ou déjà vécu. 

    J’interprétais tout de travers, de manière excessivement négative jusqu’à même transformer des blagues anodines des copains en répliques acérées comme des couteaux. Le p’tit bout de femme que j’étais pouvait se comporter comme une véritable tigresse : je montrais griffes et crocs en permanence. Quelle déplorable façon de communiquer !

    On m’a expliqué patiemment – des personnes bienveillantes croisées sur ma route –  que parler, ce n’était pas hurler. Qu’échanger, ce n’était pas asséner des coups de mots. Alors,  j’ai réfléchi et travaillé sur mes émotions négatives comme : l’estime de soi, le regard des autres, le rejet, le besoin de reconnaissance, etc.

    Quand j’ai trouvé enfin mon équilibre après un énorme travail sur moi, j’ai revu tout mon système de communication

    📢 Plutôt que supposer ou mal interpréter, verser dans l’exagération ou la déformation ou encore tomber dans le mélodrame, il est préférable : 

    • De penser premièrement que la personne en face de soi est bienveillante et pas l’inverse
    • D’aller voir la personne et l’interroger gentiment sur ses intentions
    • De demander des explications quand l’ambiguïté des propos nous fait douter
    • De se poser, réfléchir avant de parler et d’agir 

    Le but de la discussion ne doit pas être la victoire, mais l’amélioration.” (Joseph Joubert)

    2- Nettoyer régulièrement son “objectif”

    Tes lunettes sont sales, tachées par tes traces de doigts, la poussière ? Tu vas alors attraper un kleenex ou le bord de ton tee-shirt pour les essuyer. Sais-tu que tu peux faire la même chose avec la perception de tes événements ?

    Change la façon dont tu vois les choses. Et les choses que tu vois changeront.” (Wayne W. Dyer)

    Tu ne peux pas changer ton conjoint, ton patron, tes enfants, une situation ? Change ton regard sur chaque personne qui altère ton bonheur, te crée des soucis, influence tes humeurs ou te gâche la vie.

    Mais comment ? 

    👓 En apportant des touches de couleurs, autrement dit du positif dans ta vie, dans leur vie, dans la situation, tu verras combien la situation en question peut changer et se simplifier. Ce que tu juges désagréable ou insupportable peut évoluer favorablement.

    • Retirer systématiquement les “moins” dans toute situation et ne garder que les “plus”  ; et compenser
    • Focaliser sur les qualités des autres plutôt que leurs défauts
    • Chercher patiemment des solutions pour transformer les inconvénients en avantages

    Ma façon à moi de “nettoyer mes lunettes” ou mon objectif, c’est d’apporter du positif partout. Et mon attitude me permet de garder de l’altitude sur tous les événements de ma vie. J’arrive ainsi à changer le cours et la finalité de la plupart parce que j’ai changé la perception que j’en avais.

    3- Programmer des pauses le plus souvent possible

    Parfois, c’est la fatigue qui peut être la cause d’une mauvaise interprétation de nos événements. On dit alors que c’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase et on tombe dans l’exagération. (Voir l’article suivant : Tendance à l’exagération : quand notre cerveau nous fait souffrir

    Le travail, les études, la famille et les soucis du quotidien sont autant de facteurs qui peuvent altérer la réalité, notre réalité. Il est alors temps  de s’arrêter, de penser à soi avant d’aggraver par une dépression ou un burn out une situation déjà compliquée.

    💡 Voici ce que j’entreprends régulièrement lorsque la perception de mes événements devient terne, vire à l’inquiétude ou penche vers le négatif.

    • Je me ressource auprès de mes amis au cours de petites soirées.
    • Je pars en randonnée dans la nature.
    • Je reste lovée dans mon canapé avec un bon livre.
    • Je crée une atmosphère sereine avec une musique zen et des bougies, et je reste immobile, tranquille.
    • Je m’octroie un week-end toute seule.
    • Je coupe tous mes écrans pendant une durée d’au moins 48h ; je ne réponds à aucun message ni aucun mail.
    • J’écris les pensées qui me viennent à l’esprit durant cette retraite imposée.

    C’est dans le calme et la confiance que sera votre force.” (La Bible)

    Solution d’entraide : faire une thérapie

    Quand le changement qu’on entreprend dans notre façon de percevoir ou de communiquer est insuffisant, quand le repos n’améliore pas notre vision des événements, la thérapie cognitivo-comportementale pour venir à bout de ses comportements dits de “distorsions cognitives” est préconisée.

    En quoi consiste-t-elle ?

    Le psychothérapeute va axer son aide sur la modification de la pensée et va moins s’intéresser au passé et au présent de la personne – son environnement, ses croyances, ses émotions, etc. – afin d’influencer positivement le comportement en cas de troubles d’anxiété.

    Plutôt que de fuir les situations stressantes, la personne y sera confrontée afin de modifier toutes ses fausses croyances, ses interprétations erronées des événements ou des personnes à l’origine de ses peurs. Cette thérapie s’accompagne d’exercices, une mise en application destinées à rétablir peu à peu la réalité jusque-là déformée. Le médecin agit alors comme un “coach de vie”, orientant la personne sur le chemin de la vérité (et du bonheur !) à force de questions, d’informations, et en amenant les preuves de ses comportements, pensées ou propos irrationnels.

    En réalité, adopter les bons réflexes en cas de “crise de panique” permettra de la traiter de manière immédiate, sinon instantanée. Quelques séances avec un spécialiste permettront de pratiquer les bons exercices pour traiter ce mal-être jusqu’à s’en débarrasser totalement.

    Je t’invite à un voyage sensoriel fort et puissant en cliquant ici !

  • Le remède à la maladie d’amour

    Le remède à la maladie d’amour

    La peur de souffrir est-elle plus forte que l’envie d’aimer, d’être aimé(e) ? Si tu réponds “oui”, alors tu es malade d’amour. Rappelle-toi les symptômes : fuite en avant, agressivité, dépression, mal-être, solitude. Les blessures du passé errent tels des fantômes dans notre vie, sans qu’on sache comment lécher les plaies.
    Un jour, une nuit, plutôt, j’ai touché le fond, et j’ai crié. À l’aide : “Je suis malade d’amour, je n’ai plus la paix, j’ai le mal de vivre.” J’ai appelé à l’aide quand j’ai ressenti un tel vide, une telle solitude que j’ai pensé à la mort.

    Et j’ai crié…

    “Help me” est le cri qui m’a permis de sortir de l’impasse, de mes prisons de peur. Cela s’est passé comme dans une expérience surnaturelle, où j’ai ressenti un doux manteau de paix m’envelopper juste après pleuré et crié à l’aide. Je me suis endormie et j’ai entrepris dès le lendemain un changement. Dans mes relations, mes comportements, mes habitudes. Je ne l’ai pas fait toute seule ! Et pas de miracle instantané, mais de progrès en progrès. J’ai eu besoin d’être accompagnée, éclairée, guidée dans un processus de guérison.

    Cela passe premièrement par une décision et une prise de positionnement :

    • Accepter la solution ultime à laquelle on n’a pas pensé, cette bouée qu’on te jette… mais tu n’as plus trop le choix. D’où la grande importance de garder l’esprit ouvert !
    • Accepter le changement, même s’il te déconcerte, même s’il est radical.
    • Sauter tête la première dans la bouée… Que risques-tu ?!

    Processus de guérison

    Comment se débarrasser de cette sensation cruelle qui ne me quittait plus ? Pas de Doliprane contre les maux d’amour. Pas d’Aspirine contre les spasmes du manque mais une fuite effrénée pour remplir, combler les vides, les assouvir temporairement pour augmenter les doses, cumuler les ersatz du bonheur.

    Ce vide qu’on remplit de nourriture, de pilules, de liquide, d’images, de plaisir éphémère, ces pâles copies de la joie que tu reproduis depuis tant d’années… il va falloir vraiment le nettoyer pour le laisser se remplir à nouveau. Du vrai, de l’original et finies les imitations ! Autrement dit, tu vas devoir entreprendre un processus de guérison qui prendra plus ou moins de temps selon la gravité de tes blessures. Tu auras besoin, tout comme moi :

    • De soins, d’accompagnement
    • Du silence, de repos, de solitude
    • De pardon
    • D’un amour qui te dépasse, que tu n’as jamais rencontré, à travers la spiritualité
    • De l’amour des autres pour pouvoir donner à nouveau

    Et puis, d’avaler cette potion d’amour. Elle a un goût de “reviens-y”, mais pas tout de suite ! Premièrement, tu la trouveras complexe tant il y en a ! Comment faire, pour ne rien oublier ?! Eh bien, garder la recette aimantée sur le frigo est un moyen que je te suggère.

    16 ingrédients pour un amour durable

    Ces ingrédients sont des composantes indissociables de la Formule du Bonheur. Tu vas les découvrir dans quelques instants, mais ne crois pas qu’elle aura un effet immédiat sur ton mal d’amour et guérir tous tes maux en une gorgée.

    Tu auras besoin de pratique, de persévérance, des autres, et d’y croire ! Sans oublier de traverser les étapes de la guérison évoquées ci-dessus.

    Nous sommes nés avec l’amour. Et nous avons appris la peur. Le voyage spirituel consiste à répudier, à désapprendre la peur et à accepter le retour de l’Amour dans notre cœur. L’amour est un fait essentiel de l’existence. Il est notre ultime réalité, notre ultime but sur terre.” (Marianne Williamson)

    Quand tu es venu(e) au monde, tu es né(e) sans peur, dans l’amour, fruit d’un amour (ou d’un acte d’amour). Tu avais cette joie en toi, dès ton premier cri ! Peu à peu, ce sentiment de bonheur s’est étiolé au profit du malheur. Or, l’amour ne meurt jamais, il change juste de forme selon à qui tu le donnes. Il n’a pas de fin, selon le prophète révolutionnaire Jésus. Et comme pour toute construction, il a de solides fondations qui lui permettront de devenir durable et même indestructible, selon Jésus. Ce sentiment de bonheur enfoui peut renaître grâce à l’Amour durable dont il est question juste après.

    J’ai relevé 16 caractéristiques d’un amour durable qui renforce le bonheur en joie inaltérable. Le chiffre 16, selon les théologiens, est le symbole spirituel de l’Amour parfait, qui exprime l’unité (l’union) renforcée par la grâce (le pardon)

    1. L’amour est patient = Il ne s’énerve pas, ne râle pas, ne maltraite pas, il sait attendre.
    2. L’amour rend service = Il est disponible, généreux, empathique.
    3. L’amour n’est pas jaloux = il fait confiance, il ne convoite pas, il ne soupçonne pas le mal.
    4. L’amour ne se vante pas = il ne raconte pas partout comment et combien il donne.
    5. L’amour ne se gonfle pas d’orgueil = Il est humble, modeste, il sait rester à sa place.
    6. L’amour ne fait rien de honteux = Il est respectueux, sain, attentionné.
    7. L’amour ne cherche pas son intérêt = Il est modeste, il fait passer les besoins de l’autre avant les siens.
    8. L’amour ne se met pas en colère = il garde son calme, il maintient la paix.
    9. L’amour ne se souvient pas du mal = Il n’est pas rancunier, il pardonne.
    10. Il ne se réjouit pas de l’injustice = Il s’en indigne et lutte contre.
    11. L’amour se réjouit de la vérité = Il ne ment pas, il est sincère.
    12. L’amour excuse tout = il trouve toujours des circonstances atténuante, il pardonne (encore).
    13. L’amour croit tout = Il est positif, il croit que l’autre est/dit vrai.
    14. L’amour espère tout = Il voit en l’autre ce qu’il est en train de devenir.
    15. L’amour supporte tout = Il porte les fardeaux, il partage les peines.
    16. L’amour ne disparaît jamais = il est le plus fort, il est indestructible.

    Love is all you need. L’amour est tout ce dont tu as besoin.

  • Comment trouver (et garder) son équilibre dans un monde en perpétuel changement ?

    Comment trouver (et garder) son équilibre dans un monde en perpétuel changement ?

    J’ai longtemps été une femme qui gardait le contrôle sur tout ce qui m’entourait : mon entreprise, le temps, les finances, les gens, mes relations… jusqu’à ce que j’épuise toute mon énergie et perde toute forme de sérénité. J’ai fini par comprendre que pour atteindre l’équilibre intérieur, cet équilibre qui me faisait tant défaut, il me fallait abandonner certaines habitudes toxiques en travaillant sur mon “moi”, mon ego sans cesse éprouvé par les obstacles, les difficultés. Parce que j’ai cheminé très souvent dans la résistance, à contre-courant. J’étais, d’une certaine manière, une rebelle ! 💣


    J’ai dû apprendre le lâcher prise, à analyser régulièrement tous les domaines de ma vie, tout en restant active, toujours avec de nouveaux projets, et surtout, surtout… reconnaissante du chemin parcouru : tout n’était pas perdu ni erroné, ouf ! Il me fallait seulement réajuster certaines vitesses de ma bicyclette, huiler la chaîne un peu grippée, et garder les pieds sur les pédales et les mains sur le guidon…

    Apprendre le lâcher prise

    Accepter le changement en tant que tel revient à dire qu’on lâche prise. Qu’on cesse de lutter contre lesquels nous ne pouvons rien. Cette attitude positive intérieure maintient notre ouverture d’esprit à la vie, aux autres et aux circonstances, tout en acceptant qu’on ne contrôle rien. 

    Grâce à cette attitude, les événements, notre environnement, notre entourage trouveront tout naturellement leur équilibre ou leur place. Ils s’ajusteront entre eux, quand plus aucune résistance ne se fera.

    Le lâcher prise, c’est parfois abandonner l’illusion que l’on peut changer soi-même les choses. Ou les autres ! C’est une forme de renonciation et non de résignation, d’acceptation de l’autre, de l’événement qui se produit.

    💡 Ce lâcher prise est une position intérieure, que l’on peut développer grâce à la méditation, le repos, la lecture, la prière, l’écoute du silence, de musique de détente… 

    Faire régulièrement des introspections

    J’emploie cette expression amusante avec mon ostéopathe lorsque je l’appelle pour prendre rendez-vous chaque année, à la veille de mon anniversaire : “C’est le moment de faire la révision kilométrique.

    Pour notre vie, c’est la même chose : ne pas laisser la vie nous embarquer mais embarquer plutôt dans la vie que l’on rêve d’avoir. Pour cela, il est indispensable de faire le point, d’analyser chaque domaine de notre vie, pour vérifier lequel souffre de carence ou au contraire d’obésité.

    Il y a quelques années, j’étais boulimique… d’activités. Les autres sphères de ma vie, comme la famille, la santé, la détente, les loisirs, étaient devenus des petites billes pas plus grosses que des œufs de poisson. Mon corps a crié aïe, et j’ai dû stopper pendant un bon trimestre. J’avais perdu l’équilibre !

    La solitude est nécessaire pour reprendre l’équilibre, et faire le point avec soi-même.” (Henri-Frédéric Amiel)

    En effet, j’ai dû rester chez moi, seule, sur mon canapé, entourée de bons livres et sombrant parfois dans le sommeil. Je suis parvenue à rétablir l’harmonie dans ma vie en me coupant provisoirement de l’extérieur, des autres. Et peu de temps après, je me suis mise à mon compte en tant que rédactrice et j’ai trouvé mon point d’équilibre.😃

    💡 Saisir l’importance de veiller, de rester vigilant sur les 7 domaines de notre vie est un bon moyen de rester assis sur sa bicyclette !

    Rester soi-même en perpétuel mouvement

    Qui dit “mouvement”, dit “changement”. Ou serait-ce plutôt des transitions que nous vivons la plupart du temps ? “La transition est le volet subjectif du changement, c’est-à-dire l’adaptation interne, psychologique, que l’individu opère face à ce changement.” (W. Bridges) C’est comme un passage obligatoire dont le processus est le suivant :

    • Renoncement à sa situation actuelle : c’est faire le deuil de la situation que l’on souhaite abandonner. C’est malgré tout difficile, car il se peut que l’on reste attaché à certains critères de notre situation.

    Ex. : Je quitte mon travail pour un meilleur salaire, mais je m’éloigne de mon domicile.

    • Acceptation du changement avec une certaine incertitude (Cela va-t-il fonctionner ?)

    Ex. : Je ne sais pas si entamer une nouvelle relation sera meilleure que la précédente.

    • Prendre un nouveau départ grâce aux précédentes leçons qu’on a tirées de nos échecs

    Ex. : Je repars à zéro, mais avec des bagages ; je saurai comment faire pour ne pas faire faillite une autre fois.

    💡 Tant que l’on reste dans ce fonctionnement qui nous appelle à rester ouverts, curieux, avec l’état d’esprit d’un constant “learner”, alors on atteint déjà une forme d’équilibre.

    La vie, c’est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l’équilibre.” (Albert Einstein)

    Se montrer reconnaissant(e)

    Après l’introspection, c’est la rétrospection qui nous maintient dans l’équilibre. Et au final, quand on a fait le tour de notre existence, on s’aperçoit que cela pourrait être pire, qu’on n’est pas si malchanceux ! 

    Il n’y a guère au monde un plus bel excès que celui de la reconnaissance.” (La Bruyère)

    Quand on a envie de se plaindre, de critiquer ou de se comparer avec les autres, alors la gratitude nous rend toute de suite plus heureux, dès qu’on revient régulièrement sur ce processus :

    • Analyser son passé (et ses erreurs) : seul ou avec un professionnel, afin de ne pas reproduire les mêmes schémas, les mêmes erreurs
    • Se rappeler d’où l’on vient : peut-être de très loin ou de très bas ! 
      Ex. : On se relève d’une maladie, d’un deuil, de lourdes dettes, etc.
    • Savoir faire preuve d’humilité avec un esprit raisonnable
      Ex. : Ne pas comparer les succès des autres, se fixer des objectifs atteignables pour soi-même, pas pour faire mieux que son voisin
    • Reconnaître, que même si cela pourrait être mieux, il y a plus malheureux que nous.
      Ex. : J’ai un toit, alors que certains sont sans abri

    💡 À pratiquer sans modération (à l’excès)

    Lorsqu’il ne nous est demandé aucun effort pour garder notre fonctionnement équilibré, lorsque tout ce que nous entreprenons ne soulève plus aucune difficulté, alors nous pouvons affirmer que nous avons trouvé notre point d’équilibre.

  • Comment bien vivre le changement ?

    Comment bien vivre le changement ?

    Pourquoi c’est si dur de vivre le changement ? Pourquoi n’est-ce pas possible de changer de vie, de mentalité, d’orientation en un éclair ? Une idée de génie, et hop, c’est la transformation assurée ! Un claquement de doigt, et zou, on est une autre personne, avec 10 kg de moins, un visage lissé et un sourire plus blanc que blanc ! On lit quelques bouquins de développement perso et ça y est, on est… parfait… 
    Ah ! Dommage ! Ce n’est pas la réalité !

    Nous désirons tous améliorer notre vie, rendre notre existence meilleure et plus facile, mais nous refusons de changer. Nous préférerions qu’ils changent, mais nous devons d’abord changer intérieurement, c’est-à-dire changer notre manière de penser et de nous exprimer, sans quoi aucun changement extérieur n’est possible.” (Louise L. Hay)

    Je crois que, dans notre subconscient, nous savons que le changement va nous coûter des efforts, des sacrifices, et ouïe, on n’aime pas ça, souffrir ! On déteste, même ! On préfère notre petit confort, même s’il nous ennuie, nous enchaîne, nous déprime. Pourtant, on le veut, ce changement, car on se dit qu’on ne peut plus continuer à vivre ainsi, qu’on est arrivé au bout. Au bout de nos rêves, de nos attentes qui se sont transformés en mirages.

    Si tu réalises que “pas de changement, pas de changement”, alors je reste persuadée que tu seras partant(e) pour accepter au moins ce premier changement dans tes pensées : il est tout à fait possible de bien le vivre (le changement) !

    Personnellement, j’ai toujours raffolé des changements et j’en ai même abusé. Certains étaient intelligents, réfléchis, d’autres, carrément pas. Et mes figures de dominos ont fait très souvent trois pirouettes pour s’échouer lamentablement.

    J’en ai tiré plusieurs leçons (Tu sais, c’est le mot que j’utilise quand je parle de mes échecs 😊) que je te ressers aujourd’hui, et je souhaite ainsi que tu gagnes du temps, en économisant ton énergie.

    Quand je me suis aperçue, à mes dépens, que si je ne sortais pas de ma boucle de scénarios catastrophe, si je ne suscitais aucun changement, je subirais d’autres échecs, alors j’ai accepté de les provoquer.
    Avec les 5 attitudes suivantes, tu finiras par accepter le changement et même à y prendre un certain plaisir.

    Attitude 1 – Se motiver en se fixant des objectifs réalisables

    Rien de plus motivant, voire excitant que de se fixer des buts avec les moyens pour les atteindre. Certains sont très importants, comme : 

    • Obtenir une promotion
    • Se marier
    • Avoir un premier enfant
    • Construire sa maison
    • Reprendre ses études
    • Etc. 

    D’autres sont beaucoup plus simples, et touchent notre quotidien ou notre manière de vivre :

    • Perdre du poids > manger sainement > faire une activité physique
    • Prendre du temps avec ses proches > cultiver la patience > approfondir ses relations
    • Partir en week-end à Londres, Paris ou Barcelone avec des amis

    Quels que soient nos objectifs, il est important de ne pas les perdre de vue et de mettre tout en œuvre pour les réaliser

    💡 Cela implique forcément du changement ! Cela se passe premièrement dans notre tête : le dé-ci-der. C’est au-dedans de nous que le changement va commencer, parce que l’on n’accepte plus la vie que l’on mène actuellement. Parce que l’on veut vivre autrement : heureux(se) !

    Attitude 2 – Accepter la transformation intérieure

    Ce changement doit intervenir premièrement dans notre système de pensée. Adopter la “pensée positive”, mais pas seulement : l’accompagner aussi de paroles positives, de paroles créatives et optimistes, qui déclenchent des actions efficaces. 

    Cette attitude aura un impact considérable sur nos événements, nos rencontres, elle déclenchera “des ouvertures de portes”.

    J’ai accueilli le changement, la nouveauté comme des cadeaux, des défis à relever qui m’ont permis de passer au niveau supérieur, de m’enrichir. Et par conséquent, d’accompagner tous ceux qui souhaitent améliorer leur vie dans le changement. J’ai commencé par modifier mes pensées :

    • Je suis capable
    • Je vais apprendre, m’entourer de professionnels qui me guideront
    • Ce n’est pas que pour moi, cela va aider d’autres personnes
    • Je veux avancer, ne pas me contenter de mes acquis

    💡 Avec ce genre de pensées, je ne laisse aucune place à la peur, au doute, au manque de confiance en moi. Pour cela, je mets en place des stratégies, comme l’apprentissage, la méditation, le repos, les petits bonheurs qui me permettront de garder le cap, sans abandonner sous l’effort parfois conséquent.

    Attitude 3 – Faire preuve de souplesse, d’adaptabilité

    Ce qui doit arriver arrive. Les choses et les gens sont comme ils sont. Je peux accepter ce que je ne peux changer et modifier ce que je peux, n’oubliant pas que les solutions parfaites n’existent pas.” (Lucien Auger, psychologue)

    C’est ce qui signifie être souple et s’adapter. Résister au changement, rejeter la nouveauté ne les empêchera ni l’un ni l’autre, cela doit se produire, point. Et pour éviter une souffrance inutile, il est important de suivre le mouvement et d’abandonner l’envie de nager à contre-courant. Lutter contre le changement, auquel on ne peut rien, va non seulement nous épuiser, mais aussi nous dévier de nos objectifs, de nos rêves, tout en faussant nos raisonnements.

    💡 La seule question à se poser à mon sens est celle-ci : “Comment dois-je vivre ce changement pour éviter de souffrir ?” 

    Et la réponse qui s’impose : “En l’acceptant.”

    Attitude 4 – Dire “non” à la procrastination

    La première règle de la réussite, ne jamais remettre au lendemain l’exécution d’un travail.” (Emmeline Raymond)

    Repousser au lendemain ce que l’on peut faire le jour même cache plusieurs attitudes : la peur de l’événement en lui-même (encore une autre peur !), des actes à accomplir (Suis-je à la hauteur ? Vais-je y arriver ?) ou tout simplement la paresse, eh oui, appelons un “chat” : un “chat”.

    Le danger, dans cette attitude, c’est :

    • De cumuler des retards, se mettant en danger (santé, finances, relations…)
    • De prendre l’habitude de tout remettre au lendemain
    • De se priver aussi des bons moments (parce qu’on craint les mauvais)
    • De laisser filer les bonnes occasions d’améliorer notre vie qui résultent de nos actions, en aucun cas de notre passivité. 

    Si on ne fait rien aujourd’hui, rien ne se passera non plus demain, car certains événements demandent de l’endurance, du temps et de la persévérance.

    💡 J’ai une bonne manière de résister à l’envie de remettre à plus tard : c’est de commencer à faire ce qui me coûte le plus, me demande plus d’efforts, ou que je n’aime pas faire, et terminer par celles que je préfère. 

    “Accepter le changement aujourd’hui, c’est déjà préparer tes lendemains.”

    Attitude 5 – Per-sé-vé-rer sans se re-lâ-cher !

    Autrement dit, ne pas abandonner, quel que soit le prix à payer. Quand tu sens que tu es sur le point de baisser les bras, entoure-toi des bonnes personnes qui sauront t’encourager, te motiver, en te rappelant l’objectif pour lequel tu as entrepris ce changement.

    Persévérer, c’est aussi s’octroyer des pauses, avoir la sagesse de réaliser que si on est au bord de l’abandon, c’est qu’on a besoin de se changer les idées.

    Je te donne déjà ce genre d’astuces pour faire un break dans cet article : 5 clés pour (res)susciter l’état de bonheur.

    Es-tu prêt(e) à relever ce défi du changement de ta vie en adoptant 5 bonnes attitudes ? Alors commence dès aujourd’hui, ne repousse pas à demain😉

  • Une A.I.D.E.S. efficace contre la peur !

    Une A.I.D.E.S. efficace contre la peur !

    Pas de faute d’orthographe, mais simplement un acronyme pour te rassurer : il existe des remèdes à la peur, aux peurs ! Ce remède a une posologie bien précise en 5 phases : A.I.D.E.S. est destiné à t’aider à vaincre tes peurs.

    Beaucoup se contentent de vivre une vie médiocre, de ne pas avoir la vie qu’ils avaient imaginée, de passer à côté de leurs rêves. Je ne sais pas si tu fais partie de cette catégorie de personnes, personnellement, je l’ai quittée il y a plusieurs années, maintenant.

    J’ai le plaisir de vivre “exactement” de mes rêves, je savoure mes journées, malgré ses nids de poules parsemés sur la route, où je perds parfois un pneu ou me tords la rotule…

    Tout ce qui ne nous tue pas nous rend plus forts ! (Nietzsche) Parce qu’auparavant, je me suis transformée en serial killer, j’ai commis plusieurs meurtres et aucun de me conduira en prison, au contraire : je suis liiiiibre ! Oui ! J’ai tué toutes mes peurs ! 

    Je suis passée par toutes les étapes de “A.I.D.E.S.”, j’ai même dû m’y prendre à plusieurs fois, car rappelle-toi, j’ai donné un grand coup de pied dans la fourmilière, plus par dépit que par rage, et toutes les fourmis m’ont attaquée…

    J’ai commencé par…

    Avouer 

    Bah, à qui, et à quoi ça sert, d’abord ? Je vais te le dire. C’est avouer que l’on est malade de peur…Tant que tu ne reconnais pas que tu es malade, tu ne pourras pas te soigner. Et sans soin, la maladie s’aggrave, jusqu’à te faire frôler la mort et peut-être même jusqu’à t’envoyer dans l’au-delà. Bon, c’est encore une image, mais dis-moi, quelqu’un qui ne vit pas, ça s’appelle bien un mort, non ?! Un mort-vivant ?

    Donc, c’est utile pour toi d’abord, et peut-être qu’en parler aux autres – des proches, et surtout des professionnels comme des psy – c’est un premier grand pas vers la guérison.

    Identifier

    Toutes les peurs ont des noms. Même celles qu’on a peine à identifier, qu’on ne peut ou ne veut s’avouer. On peut alors les appeler “peurs anonymes” ou “peurs inconnues” (à moins que ce soit la peur de l’inconnu…).😉

    Il existe des tonnes, pour ne pas dire des mètres de peurs ! Cette étape est très importante : il s’agit de dresser une liste où sont répertoriées toutes nos peurs !

    La mienne a ressemblé au tapis rouge déroulé au Festival de Cannes : 60 mètres. Bon, changé 3 fois par jour pendant 10 jours, ça en fait des mètres ! Je te laisse calculer ? 

    J’ai fait le tour des 7 domaines de ma vie, et il y en avait de logées partout ! Je te fais un inventaire rapide, raccourci et incomplet : peur de manquer, peur de la solitude, peur des agressions, peur des attentats, peur du regard des autres, peur de me perdre, peur du noir, peur de mon père, peur de mon banquier, peur du rejet, peur des asticots, peur de manger une pomme sur l’arbre à cause des asticots, peur du brouillard qui ressemble à des spectres, peur des accidents de voiture, peur d’une panne d’essence, pfff. J’arrête… Ça sera bientôt ton tour !

    Décider 

    D’en finir avec ses peurs. Ouh laaa ! C’est une décision difficile à prendre. Tu ne vas pas prendre l’ordonnance, aller à la pharmacie pour ensuite dire au docteur que tu revois 3 mois après : “Ben, finalement, je n’ai pas pris le traitement.” Décider, c’est décider d’agir et d’arriver au bout de son engagement.

    J’ai décidé. J’ai poussé un hurlement intérieur. Comme j’étais dans un séminaire avec une cinquantaine de personnes, j’ai “contenu” le son, sinon, je pense que j’aurais été embarquée par la Sécurité 😄. Puis, j’ai vidé un paquet de kleenex, et enfin je me suis dit : “Je le fais, c’est maintenant ou jamais, je veux vivre, crotte de bique, à la fin !” J’ai franchi le pas : j’ai signé un contrat de rupture avec mes peurs.

    sEngager 

    J’ai tiré sur chaque peur à bout portant. Une fois le cri évacué, les mouchoirs à la poubelle :

    J’ai commencé un nouveau départ

    • J’ai jeté les (mauvais) souvenirs déclencheurs de peurs. 
    • J’ai arrêté de jouer avec mon imagination (sauf avec mes neveux pour les faire rigoler). 
    • J’ai arrêté d’écouter les médias qui te mentent, grossissent les faits et créent la paranoïa (je n’ai pas de TV).
    • J’ai divorcé avec les relations parasites avec lesquelles j’entretenais mes peurs.
    • J’ai nettoyé mon système de pensée (et l’actualise tous les jours !)
    • J’ai commencé un nouveau régime : des pensées saines et positives, bénéfiques pour mon corps, mon âme et mon esprit à l’aide de la méditation, de la prière, de lectures nourrissantes…

    J’ai dû travailler sur…

    • La maîtrise de soi
    • Le regard des autres : ne plu en tenir compte
    • Le sens à donner à ma vie, en observant les gens, les situations avec un regard neuf et ouvert
    • L’échec, le comprendre et l’analyser, réaliser que le “non” n’est pas toujours refus négatif mais qu’il est aussi destiné à nous apprendre, à nous faire grandir
    • La comparaison : en finir avec
    • Certaines addictions et mauvaises habitudes : les arrêter
    • Mon potentiel enfoui : réveiller ma créativité 
    • Mes expériences : les (ré)utiliser
    • LA bonne attitude à adopter (proactive)
    • Mon potentiel : croire que j’en ai un !

    Et faire confiance en la vie !

    Oui, rien que ça.

    Sauter  

    Non dans le vide ou sur une mine, mais les deux pieds dans la voie du bonheur en réalisant mes rêves, mes projets. Aujourd’hui, l’écriture – ma passion – me fait vivre, j’aime ce que je fais, j’aime ma vie, tout simplement. J’aime qu’elle soit riche en rebondissements et non linéaire. C’est vrai qu’elle est traversée par une grande route d’inconnues, mais c’est une vie d’aventure que je n’échangerai pour rien au monde. Car j’ai la certitude que tout ira bien, toujours, dans les vallées comme sur les sommets, parce que tout est question de regard, d’attitude… et de pensées !

    Ces 5 étapes ont été essentielles. Elles ont changé le cours de ma vie ! Elles m’ont aidée à briser ces peurs, puis, plus tard, à franchir un autre cap : sortir les deux pieds de ma zone de confort pour vivre encore plus libre, plus heureuse, hors de mes limites étriquées. J’ai dû vaincre une toute dernière peur qui restait ancrée.

    Depuis, je fais confiance en la vie, en cet Architecte de l’univers qui m’a créée heureuse dès la naissance et pour que je le reste.

    Alors, tu sautes ?

  • 5 attitudes positives pour une vie heureuse !

    5 attitudes positives pour une vie heureuse !

    Comment est-il possible de vivre heureux(se) quand on a des soucis plein la tête, des difficultés qui s’accumulent, des contrariétés quasi-quotidiennes ? La vie, quoi ! Si je dis de suite que le bonheur ne dépend pas des circonstances mais de ton attitude face à ces dernières, alors je te donne la solution ici et maintenant pour résoudre ta Formule du Bonheur.

    Être heureux(se), satisfait,(e) content(e), implique du changement dans notre attitude face à la vie et son cortège de mauvaises nouvelles, d’imprévus et de douleurs…

    Encore ce mot qui revient comme un refrain : chan-ge-ment. 

    • De pensées
    • D’habitudes
    • D’attitudes (c’est le plat du jour !)

    Aujourd’hui, je vais te montrer l’importance d’adopter 5 bonnes attitudes qui vont tout changer dans ta vie ! Tu ne vas plus réagir en position défensive mais agir en position “d’attaque” positive : tu me suis ? 🤓

    📌Astuce 1 – Arrêter d’être susceptible

    Me vexer pour un oui ou pour un non, c’était monnaie courante chez moi. Jusqu’au jour où j’ai réalisé que c’était vraiment, vraiment insupportable à vivre. J’en ai eu plus qu’assez de ressembler à Bob l’éponge, d’absorber tout et n’importe quoi des gens, sans compter que certaines personnes blaguent et ne t’agressent pas forcément !

    Alors, alors… J’ai changé… D’éponge, je suis passée à imperméable, comme le plumage d’un canard ! Comment j’ai fait ? 

    Tout est question de choix, de prise de décision, de positionnement : le manteau de susceptibilité que je portais était devenu bien encombrant ! Alors, je l’ai troqué contre un imper composé de jolies plumes de colvert, tout simplement. 

    En d’autres termes :

    • C’est dire “non” à la mauvaise pensée qui s’installe suite à une remarque désobligeante, à une humiliation ou à une contrariété. 
    • C’est dire “oui” au bonheur qui est à portée de mains, avec tous ses “petits” bonheurs qui sont quotidiens. 
    • C’est adopter une attitude plus légère sur les gens, les événements, sans trop se prendre au sérieux ni les autres non plus. 
    • C’est prendre de la hauteur, du recul.

    Trop de susceptibilité nuit toujours au bonheur.” (Samuel Johnson)

    📌Astuce 2 – Aimer

    La première personne à aimer, à prendre soin, c’est soi-même… Si tu ne t’aimes pas, comment pourrais-tu aimer les autres ? S’aimer, c’est s’accepter tel que l’on est, avec cette perspective que l’on fait tout pour avancer, évoluer, apprendre, comprendre de la vie et de ses leçons à la fois belles et douloureuses qu’elle nous offre à chaque instant. 

    Tu ne peux pas résister à qui tu es, physiquement, psychologiquement, intellectuellement, mais tu peux toujours contribuer à changer et à t’améliorer : c’est une attitude positive que de se dépasser, se développer.

    Il y a tant de façons d’aimer !

    • Offrir un sourire, un regard
    • Penser à l’anniversaire de quelqu’un
    • Proposer un café à son voisin
    • Porter les courses d’une femme enceinte
    • Tenir la porte à une personne âgée
    • Payer un restau à un SDF ou lui donner des provisions
    • Laisser passer les piétons
    • Céder sa place dans le métro
    • Raccompagner un collègue (grève ou pas !) 

    Tu trouves ça cliché ? Essaie, tu verras combien l’on se sent bien de faire plaisir !

    Et puis… de dire à ses proches combien on les aime, en manifestant nos sentiments par des actes concrets. 

    Quand on aime, on est aimé en retour ! L’inverse est vrai aussi, alors que préfères-tu ?!

    Le bonheur, c’est d’aimer à l’infini, de ne pas s’arrêter sur un être ou deux ou dix ou cent.” (Omraam Mikhaël Aïvanhov)

    📌Astuce 3 – Pardonner

    En vouloir à celui ou celle qui t’a offensé(e), qui t’a causé du tort t’apporte plus de souffrance à toi-même car tu ressasses le mal sans parvenir à le digérer. La personne qui t’a blessé(e) ignore peut-être les dégats commis et il se peut même qu’elle ne pense plus à toi ! Qui a le plus mal ? Toi ou elle ? Toi qui y penses tout le temps sans parvenir à dépasser l’offense ? Ou cette personne contre laquelle tu nourris des pensées “meurtrières” ? Toi, bien sûr !

    Je ne dis pas que pardonner est chose aisée… Mais c’est une attitude qui libère ! J’ai mis plusieurs années pour pardonner à mon ex-mari quand j’ai compris que la rancœur m’empoisonnait lentement mais sûrement : j’avais une peur bleue du couple et une attitude défensive envers tous les hommes que je croisais. 

    Le pardon m’a permis d’ouvrir la porte de la prison dans laquelle j’étais enfermée depuis des années, même après mon divorce ! Je suis devenue une femme libre, épanouie, qui n’a plus peur de souffrir. Même s’il n’y a eu ni réparation ni restitution. Mais c’est un autre sujet que nous pourrons aborder plus loin.

    Le pardon ne change pas le passé, mais il élargit l’avenir.” (Paul Boese)

    📌Astuce 4 – Avoir de bonnes relations

    Les relations, c’est comme les fringues, il faut savoir trier celles qui ne te mettent pas en valeur, qui jurent avec ton teint, qui te boudinent, qui sont trouées, défraîchies, élimées et démodées… À jeter, donner, recycler, à défaut de retoucher !

    Dans les relations, il ne faut pas lésiner ! Et se séparer sans hésitation des rabat-joie, des sinistres, des langues médisantes et plaintives, des bouches râleuses et négatives. S’éloigner des personnes conflictuelles, “procédurières”, stressées, colériques et frustrées ! Tu trouves ça radical ? Et si tu n’as plus d’amis, après ça ??? Eh bien, c’est qu’ils n’en étaient pas… 

    Ne t’en fais pas : quand tu auras (re)trouvé la joie, tu attireras les gens à toi. Tu te feras de nouvelles amitiés que tu entretiendras à l’aide de ces 5 clés.

    N’attendez pas que les autres vous apportent la vie, qu’ils vous apportent l’amour, qu’ils vous apportent la joie : c’est vous d’abord qui devez ouvrir en vous les sources de la vie, de l’amour et de la joie.” (Omraam Mikhaël Aïvanhov)

    📌 Astuce 5 – Cultiver le contentement

    As-tu commencé à rédiger ta liste de “petits bonheurs” ? Elle t’aidera à définir, qu’en réalité, tu n’es pas si malheureux(se), frustré(e) ou déçu(e) par la vie ou les autres plus que tu ne le penses. Il y a tant de sujets de se réjouir, d’occasions à remercier la vie, les autres, cet Architecte qui a créé pour toi et moi cette nature si belle, avec ses habitants, et qui varie de l’infini grand à l’infini petit…

    • Apprécier cet instant, où avant de te coucher, tu observes les étoiles.
    • Savourer l’aube d’un nouveau jour, où les oiseaux s’égosillent pour saluer le lever du soleil.
    • Faire un tour dans le jardin et regarder ses plants de tomates se dresser de toutes leurs feuilles.
    • Reconnaître l’arôme puissant du café de la brûlerie d’à côté… 
    • Se tenir sur ses jambes et respirer, c’est le miracle de la vie !

    Alors, cette liste ? Tu la vois s’allonger ?! Elle t’aidera à te persuader que tu es heureux(se), finalement, un point c’est tout !

    Celui qui ne sait pas se contenter de peu ne sera jamais content de rien.” (Épicure)

    Décide de garder LA bonne attitude, celle qui te maintiendra dans un état de joie, de paix durables qu’aucun événement ne viendra contrarier, qu’aucune personne ne parviendra à altérer. C’est une bonne habitude à instaurer, la solution à ton équation du bonheur que rien ni personne ne te volera.

    Une personne qui garde une bonne attitude tirera le meilleur de toute situation.” (John C. Maxwell)

  • Mode d’emploi pour garder ses pensées positives

    Mode d’emploi pour garder ses pensées positives

    Étapes 2&3

    À quoi sert un mode d’emploi ? Logiquement à comprendre le fonctionnement d’un nouvel appareil dont on vient de faire l’acquisition. Ou encore à faciliter le montage d’un meuble en kit. Si on s’en passe, soit on sait faire, soit on veut brûler les étapes, à tort, pour se retrouver bête devant les 36 options de notre téléviseur ou avec 3-4 vis dans la main.

    Il existe véritablement un mode d’emploi pour la bonne utilisation de nos pensées. Sur 60 000 pensées journalières, seules 18 000 sont positives. Cela signifie bien que l’on n’a pas le bon procédé pour améliorer notre “potentiel positif” !

    Dans le premier article, nous avons travaillé à renverser cette mauvaise habitude – celle de mal penser, de trop penser en mal – à l’aide de 3 astuces simples comme bonjour.

    Cette fois-ci, nous allons nous pencher sur les deux dernières parties de notre notice sur les pensées.

    Après le nettoyage du disque dur, voici l’actualisation et l’inévitable “reset”.

    2ème étape- L’actualisation de ton système de pensée

    Ton système de pensée ne fonctionne pas très bien : ralentissement, bug, virus. Des pop-up clignotent toutes les 30 secondes, c’est insupportable !

    Une parole mal interprétée, une remarque désobligeante, quelqu’un qui te pose un lapin, et te voilà parti(e) à cogiter ; tu n’arrives pas à te concentrer sur ta tâche, sur une conversation, et tu reviens sans cesse sur les faits. Cela peut même altérer ton efficacité, ta perception des autres, de l’instant présent. 

    Chez moi, cela a pu provoquer des séries d’insomnies où je revivais la scène. J’en devenais même malade physiquement : maux de tête, douleurs aux cervicales, crampes abdominales. Oui, un peu comme si j’avais attrapé un virus. Et des pensées sournoises, comme des corbeaux noirs, venaient frapper à la fenêtre de mon cerveau peut-être toutes les 10 secondes, oui… Aussi horripilants que ces pop-up qui surgissent sur ton portable !

    C’est bien la preuve qu’il faut lancer une “actualisation”…  

    Une actualisation n’a pas lieu tous les jours, mais de manière régulière. En quoi consiste-t-elle ? Là encore, voici d’autres astuces pour mettre à jour (actualiser) nos pensées.

    12 astuces pour créer de la nouveauté dans son quotidien (1 par mois ?😊)

    Chaque année, à chaque rentrée (au 1er de l’An, après les grandes vacances), on est féru de bonnes résolutions : faire du sport, se coucher tôt, manger sain, être plus patient(e), arrêter de se ronger les ongles, etc. Hélas ! La routine, la fatigue, nos agendas surchargés, parfois le manque de persévérance viennent terrasser nos engagements, même les plus simples.

    Et voilà que nos pensées tricotent dans notre cerveau, où s’emmêlent culpabilité et découragement :

    • Je n’y arriverai jamais !
    • C’est toujours pareil, je laisse tomber au bout de 3 mois !
    • Rien ne changera jamais !
    • Etc.

    Régulièrement (par semaine, par mois, ou par trimestre), je planifie de petits ou grands événements, comme :

    1. Invitations-repas : je refais le monde avec mes amis avec de la bonne musique.
    2. Balade dans la nature : rien de tel pour s’oxygéner, se dégourdir les jambes.
    3. Atelier bricolage/déco : quand je ponce et bricole pendant des heures, je ne pense à rien !
    4. Soirée cinéma entre amis
    5. Découverte d’un nouveau restau
    6. Suivre les événements de sa ville/de son quartier (brocante, foire aux livres, etc.).
    7. Activité artistique : repeindre des meubles me détend, me délasse.
    8. Participation à des séminaires : spiritualité, développement personnel…
    9. Planification de formations : pour entretenir ma joie (spiritualité, etc.).
    10. Période de jeûne (alimentaire, alcool, écrans, des gens…) : c’est là que j’en profite pour cultiver l’astuce 3 de l’étape 1. (Tu me suis ? 😉)
    11. Inauguration de nouvelles recettes : quand je cuisine, je vide ma tête et procurer du plaisir aux autres me donne de la joie !
    12. Régime vert ou crudivore ou céréalier : j’aime farfouiller de nouvelles recettes pour détoxifier mon corps, reposer mon système digestif…

    Cela a plusieurs avantages : je casse la routine, j’évite le raz-de-marée, j’anticipe avant le trop-plein de mes pensées ! Je remets les pendules à l’heure, révise mes priorités, je fais des mini-bilans tout au long de l’année, avant le fameux bilan de fin d’année…

    💡 Action : la liste n’est pas exhaustive ! Trouve-toi une ou des activités, un nouveau programme, une idée nouvelle, qui couperont ton train-train pour te donner un coup de fouet et balayer tes pensées sombres ou tristes. Surtout, évite la solitude, sauf pour te reposer.

    La vie n’est pas faite d’événements marquants ; elle est faite de simples moments.” (Rose Kennedy)

    Je dis bravo, Rose ! 👏

    3- Le “RESET”

    Certaines ne l’utilisent qu’en cas d’urgence, autrement dit avant ou après le burn out. Oui, un peu comme nos ordis qui plantent ou rament lamentablement. 

    Quand on entretient des pensées noires au point que rien ne peut en changer le cours, c’est peut-être lié à notre état de grande fatigue, de stress qu’on ne peut plus contrôler. Les pensées sont comme des flèches empoisonnées et si tu ne parviens plus à en dévier la direction (ton cerveau), il y a danger.

    Peut-être qu’il faut appuyer sur “reset”, en effet, car les étapes 1 et 2 sont des processus, des habitudes à mettre en place, que tu pourrais trouver trop longues ou contraignantes pour agir sur ton système de pensée.

    Alors cette étape est faite pour toi. Je te recommande cependant de ne pas en abuser, dans la mesure où les deux premières sont si simples à utiliser ! Et se relever d’un burn out peut te prendre 1 à 2 ans, voire plus alors que plus de 2 mois sont nécessaires pour acquérir de nouvelles habitudes. À toi de faire le bon choix !

    Comment appliquer le “reset” concrètement dans notre vie ?

    Un reset dans nos pensées passe obligatoirement par le bouton “off”. Autrement dit repos, vacances, plages-détente ou arrêt-maladie si tu frôles l’épuisement. Peut-être as-tu la chance de bénéficier de RTT, de vacances scolaires. De t’offrir un week-end prolongé, surtout qu’en France, on n’a pas à se plaindre avec nos 11 jours fériés et les fameux ponts… pour :

    • Rester chez soi et faire des grasses mat’
    • Buller avec un bon livre
    • S’échapper seul, à deux ou en famille
    • Aller se reposer chez des amis

    Je t’encourage à persévérer, car maintenir son état de joie au présent, cela relève d’un apprentissage patient et constant. Jusqu’à ce que tu acquiers des mécanismes et des automatismes.

    Souvent, c’est la pensée et non l’événement qui nous met par terre. Car les pensées ne sont pas toujours une représentation exacte de la réalité ; nous avons tendance à exagérer les faits. 

    Aujourd’hui, je te mets face à une décision : celle d’entreprendre un changement dans tes pensées à l’aide de ce mode d’emploi en 3 étapes.

    • Il influencera peu à peu le cours de tes pensées.
    • Il produira des pensées saines, joyeuses et positives.
    • Il impactera ton état pour le faire remonter peu à peu vers la joie. 

    Tu es prêt(e) à essayer ?