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  • Optimisme vs pessimisme

    Optimisme vs pessimisme

    Dans l’article précédent, le pessimisme n’est pas vraiment mis en valeur… Et pour cause, il s’attaque à tout : le moral, la santé… Et il est contagieux, car il touche l’entourage.

    Un optimiste et un pessimiste n’ont pas le même regard… Le premier ne retient que les bons côtés de la vie et il ne s’attarde pas sur les moins bons… Le second focalise sur le négatif et occulte tout le positif. L’un et l’autre s’attachent à un seul aspect. Il leur est impossible de considérer le recto et le verso en même temps. 

    Sans tomber dans cet extrême, considérons comment il est possible de renverser une habitude en choisissant son contraire, mais de manière intelligente. On a vu qu’un pessimiste était plus prudent et vigilant qu’un optimiste en ce qui concerne sa santé…

    Les extrêmes ne sont pas recommandables, quand on considère leurs effets dangereux en politique, par exemple… Et qu’une qualité poussée à son comble devient un défaut… N’en arrivons pas là ! Or, si l’optimisme permet de guérir du pessimisme, alors, choisissons cet extrême opposé avec bon sens !

    L’optimisme est un choix, celui de regarder délibérément vers le positif. Si tu considères que tu as besoin d’améliorer ta perception des événements qui te bousculent, te font souffrir, alors cela revient à parler d’attitude positive qu’on a déjà abordée. Alors, voici 4 attitudes supplémentaires pour t’y aider. Fortes comme 4 piliers que j’ai érigés pour conserver mon état de bonheur intact.

    1- L’opportunisme chasse le pessimisme

    L’opportunisme consiste à tirer le meilleur parti des circonstances ; c’est une autre forme d’attitude positive. C’est aussi une façon de rebondir sur un échec, de penser que le meilleur est devant soi, et d’y croire ! 

    Je suis devenue une opportuniste par la force des choses mais sans me forcer ! Quand j’ai été prête à regarder en face toute situation, en apparence d’échec, et à réfléchir à ce que je pouvais en tirer. 

    Aussi, quand j’ai connu un quatrième échec dans l’immobilier (certes en 15 ans, mais 4 ça a été la goutte d’eau…), je n’ai pas eu d’autre choix que de m’orienter sur mon autre savoir-faire : l’écriture. C’était le dernier…

    Et j’ai saisi une opportunité en “faisant comme si”… Comme si j’étais rédactrice alors que je me savais un peu douée de la plume, mais de là à en faire mon prochain job ! Je n’ai menti à personne : j’ai appris sur le terrain quand j’ai été recrutée par une agence de com’… 

    Si j’avais été bloquée par mes échecs à répétition, je serais restée sur le bord de la route, avec pour seuls bagages : amertume, déception, humiliation et perte de confiance en moi. Le tout alimenté par le pessimisme habituel face à une perte : “Je n’y arriverai jamais, je ne suis bonne à rien, si je recommence, je vais encore me planter”, etc. Et j’aurais loupé cette autre passion dans ma vie : l’écriture !

    💡 Ose te lancer dans une voie différente si tu aspires au changement. Saisis alors une opportunité ou provoque-la. Pour éviter de tomber dans le “oui, mais”, de n’envisager que des situations d’échec, regarde alors le point 2.

    2- Garde ton équipement d’enquêteur

    On a vu précédemment que le pessimisme était aussi le résultat de nos échecs. Parfois, il provient de notre éducation, de notre ADN et de toutes les croyances reçues. Alors, on suppose, on invente, on imagine, on brode en mode négatif pour ne pas (re)vivre une expérience douloureuse. Prétextes ou fausses barbes, le tout est de ne pas se (re)faire mal.

    Sinon, il y a une autre solution : enfiler le costume de Sherlock Holmes. Quand tu ne sais pas, quand les objections pleuvent, pars enquêter ! Plutôt que supposer, imaginer des situations ou des rebondissements qui ne se produiront probablement jamais, cherche à comprendre. 

    💡 N’invente pas la vérité que tu ne connais pas, sinon cela s’appelle un mensonge. À la place, renseigne-toi, informe-toi : le but est de confirmer ou réfuter, de te rassurer et non te laisser dans un flou artistique qui ne fera qu’entretenir ta tendance pessimiste.

    3- Fais régulièrement des analyses

    Tu es d’accord avec moi que dans la vie, il n’y pas que des situations ni toutes noires ni toutes roses. Il y a des nuances. C’est en analysant ces nuances que j’ai appris à rester optimiste, même face à un échec, derrière une porte qui se ferme ou après un vol plané.

    C’est devenu une habitude, les colonnes + et – se forment à toute allure dans mon cerveau, j’analyse tout. Cette pratique chasse toute mauvaise pensée, elle évite l’apitoiement, la plainte, l’insatisfaction. Et garde le moral au beau fixe.

    💡 C’est à ton tour d’analyser les événements qui t’ont marqué(e). Retiens qu’un événement n’est totalement négatif ou positif. Mais c’est ton regard – ta perception – qui va tout changer. 

    • En étudiant les “moins”, tu vas réfléchir sur les raisons de tes échecs ; apprendre de tes erreurs pour éviter de les reproduire ou de te faire avoir à nouveau.
    • En étudiant les “plus”, tu vas rebondir, chercher à les améliorer, et dis-toi que tu gagnes en maturité, expérience et sagesse…

    Tout s’arrange sous l’influence d’une pensée riante et optimiste.” (George Sand)

    4- Le lâcher-prise rime avec optimisme

    On peut la refaire à la Jamel Debbouze : “Le lâcher-prismmmeee rime avec optimismmmeee.

    On ne contrôle rien, ce n’est pas un scoop ! Plutôt que lutter contre les événements, je préfère laisser faire la vie, les gens – tout en veillant à ce qu’ils me respectent – sans chercher à les changer (J’ai déjà essayé… ça marche pas !). Et j’observe tout en me détachant, en prenant du recul. 

    Je me mets au pas, c’est-à-dire que j’avance selon le rythme de la situation. J’adapte aussi ma cadence à celle de l’autre. Ni trop vite ni trop lentement. As-tu déjà remarqué que tu plus tu t’acharnes, plus la situation (ou la personne) te résiste ?

    💡 Quand une situation commence à te dépasser, il est urgent de changer de rôle et de passer d’acteur(trice) à spectateur(trice). Installe-toi dans ton canapé et attends. Bon, c’est une image ! Mais attends que ça passe, que le vent tourne. Pendant ce temps, tu mets ton cerveau au repos et c’est dans le calme que tu seras en mesure de prendre des décisions car tu ne pourras pas y couper. 

    Le lâcher prise n’est pas fuir ses responsabilités mais les repousser à une date ultérieure pour ne pas faire de mauvais choix. Et puis, c’est faire confiance, aussi, aux autres : apprendre à déléguer, à partager les responsabilités Tu n’es le(la) seul(e) à pouvoir tout régler, d’autres peuvent t’y aider. Cette forme de résistance est épuisante, crois-moi ! 

    Lâcher prise, c’est se placer en harmonie avec la vie et cesser de nager à contre-courant.” (Dr Jesse Freeland)

    Le pessimisme, comme toute habitude, est profondément ancré, surtout s’il provient de notre capital génétique. Une mise en pratique régulière de ces 4 attitudes t’aidera à le renverser, cliques ici pour aller de l’avant.

  • Le pessimisme est dangereux pour la santé

    Le pessimisme est dangereux pour la santé

    Une étude faite dans les années 2010 a tenté de prouver que le pessimisme est une arme pour lutter contre le vieillissement. C’est ce qu’attestent Frieder Lang et ses collègues de l’Institut allemand pour les recherches économiques. Moi, cela ne m’a pas convaincue pour autant, aussi sérieuse soit-elle. Car, s’il joue son rôle préventif, le pessimisme n’en est pas moins néfaste pour notre bonheur.

    Si tu n’es pas tout à fait conscient(e) que le pessimisme t’empoisonne la vie (et celles des autres), qu’il maltraite ton corps, vole ta joie de vivre, alors laisse-moi te convaincre preuves à l’appui que l’optimisme est beaucoup plus sain. De plus, il est un facteur essentiel à notre bonheur !

    Les origines du pessimisme

    Le pessimisme ne naît pas uniquement des échecs, des difficultés de la vie. Encore une idée reçue que j’ai dû abattre ! J’ai découvert dans un article de Sciences Humaines qu’il peut être transmis dès le ventre maternel. Incroyable ! 

    Voici l’explication. Le système de pensée de la mère se propage via le cordon ombilical, qu’il soit négatif ou positif. Or, les ressentis négatifs seraient mieux captés que les sentiments positifs. Peut-être que cela provient du fait qu’ils soient les plus expressifs ? Les enfants mémorisent puis s’approprient les réflexes maternels. Ils absorbent les inquiétudes, digèrent mal le stress, qu’ils vont ensuite reproduire. Il est même fort probable qu’il ait un terrain favorable à la dépression et qu’il traversera des épisodes dépressifs au cours de sa vie.

    De plus, certains modes d’éducation vont confirmer leur rôle dans la construction psychique d’un enfant. Par exemple, un manque d’autonomie va accentuer le développement du pessimisme, alors qu’un enfant plus indépendant – où le contrôle maternel est plus léger – va favoriser l’optimisme de l’enfant et son épanouissement. Bien entendu, tout cela n’exclut pas l’implication des facteurs génétiques. Parfois, il est préférable d’hériter d’une vieille armoire Louis XVI perforée par les capricornes que du pessimisme de notre mère mal dans sa peau.

    Le pessimisme a du bon quand il joue un rôle préventif !

    Selon les scientifiques allemands, l’optimisme décroît avec l’âge, peut-être parce que le bilan de la vie écoulée n’est pas si terrible. Les jeunes manifestent plus d’espoir, tout en surestimant la réalité. Quant aux quinquagénaires, ils commencent à dévaler la pente de l’optimisme.

    (Je dois être une extra-terrestre… Parce que moi, je vis tout le contraire ! J’ai remonté la côte et je n’ai jamais autant connu de pics positifs, optimistes de ma vie qu’à l’approche d’un demi-siècle ! Plus jeune, jusqu’à mes 35 ans faciles, j’étais à côté de la plaque, j’avais l’habitude de dire que je ne voyais rien se profiler à l’horizon (sinon le pire). Bon, tu l’auras compris, j’ai résolu ma formule du bonheur, alors si tu as envie de trouver ta propre formule, tu sais ce qu’il te reste à faire… Reste sur ce blog ! Je referme la parenthèse !)

    Les personnes âgées, devenues pessimistes, vont consulter plus facilement un médecin pour des problèmes de santé et une prise en charge faite dans les temps leur assurera une vie plus longue. Alors que les optimistes ne s’en préoccupent pas plus que ça ! Ils se montrent plus insouciants (le contraire de soucieux, donc !), ce qui ne signifie pas qu’ils sont plus touchés que les pessimistes. L’étude montre que c’est kif-kif… 

    Le pessimisme fait des dégâts partout !

    À notre corps

    Les personnes pessimistes auraient un surrisque de développer une maladie coronarienne mortelle, selon une étude publiée dans la revue BMC Public Health. Les scientifiques ont fait ce constat : il existe une association significative entre la mortalité liée à cette pathologie et un fort taux de pessimisme. En revanche, l’optimisme ne protège pas ; ils n’ont relevé aucune différence avec le groupe des optimistes.

    À notre tête

    Les personnes qui nourrissent des pensées systématiquement pessimistes accroissent les risques de dépression.

    Les chiffres de la dépression sont alarmants ! 1 personne sur 5 en est atteinte au moins une fois dans sa vie. Le facteur de suicide est important : entre 5 et 20%. Les traitements sont lourds, de longue durée et ne sont efficaces que pour environ 70% des cas. Les risques de récidives interviennent dans 50 à 80% des cas les 5 années suivantes. (Source INSERM)

    Aux autres

    Oui, les pessimistes s’attaquent aussi à notre entourage ! Leurs états d’humeur maussades ruinent leur moral mais pas seulement. Il démontent aussi les projets des autres, car eux-mêmes n’en construisent pas ou plus. Par peur de l’échec, d’une mauvaise expérience car ils supposent tout de manière négative. C’est pourquoi il contestent et contredisent presque tout. 

    Les pessimistes sont contagieux : ils propagent l’angoisse, l’inquiétude, le stress, le doute, la perte de confiance autour d’eux… Leurs suppositions sentent le malheur à plein nez !

    Pour vivre mieux, soyons heureux

    Et donc optimiste ! Si pour vivre vieux et plus longtemps, il faut vivre inquiet et malheureux, moi, ça ne me branche pas. Si on me donnait le choix, je préférerais une vie plus courte et heureuse que l’opposé. 

    Si d’un côté le pessimisme me garantit des maladies parce que je vais alors consulter au moindre doute et probablement prolonger ma vie, de l’autre, c’est accepter l’intolérable : une vie sans joie. Toujours pas d’accord, et toi ?!

    L’optimisme ne protège peut-être pas mon corps, mais il donne une bonne santé à mon moral, à mon âme. Il me maintient dans un bon état émotionnel, dans l’état de bonheur.

    Une personne optimiste ne refuse pas de voir le côté négatif des choses ; elle refuse de s’attarder dessus.” (Alexander Lockhart)

    Comment renverser le pessimisme coupable de ton état de mal-être, de malheur, c’est que je te propose dans cet article : Optimisme vs pessimisme.

  • Souvenirs, souvenirs…

    Souvenirs, souvenirs…

    Certains souvenirs sont ancrés dans ta mémoire, d’autres n’ont fait qu’une brève interruption pour disparaître. Tu sais, maintenant, que nous cherchons systématiquement à changer le fonctionnement de notre cerveau, habitué au négatif, voire au pire. Nous voulons l’entraîner vers le meilleur, résolument vers le bonheur !

    Alors, cela mérite que nous comprenions, ensemble, comment fonctionnent les souvenirs, et plus exactement notre mémoire. Pour nous habituer à puiser dans les bons souvenirs, et rien que les bons !

    500 trillions de microprocesseurs

    La mémoire repose sur les connexions qui s’établissent entre les neurones en des points de contact nommés “synapses”. Ces synapses se situent là où le prolongement d’un neurone qui émet des signaux se connecte à l’une des nombreuses ramifications d’un neurone adjacent qui reçoit les signaux. Il y a 100 milliards de neurones dans ton cerveau ! Représentant en moyenne environ 5 000 connexions (synapses), comme si tu avais 500 trillions de microprocesseurs connectés dans un vaste réseau ! 

    Mémoire à court ou long terme

    Quand un souvenir à court terme se crée, une synapse est sensibilisée de manière temporaire. Quand le même signal renouvelle l’activation, la synapse est renforcée. Dans le cas de la mémoire à long terme, le renforcement de la synapse devient permanent. (Source Pour la science)

    Ainsi, il a été relevé que nous consacrons beaucoup plus de ressources mentales pour traiter les informations négatives que pour les positives. Notre cerveau les stocke différemment selon leur caractère :

    • Immédiatement quand c’est une “mauvaise nouvelle”
    • Pendant + de 20 secondes pour un transfert de la mémoire à court terme vers

    celles à long terme (Source Greater Good Science Center à UC Berkeley)

    Le cerveau agit comme du Velcro sur les expériences négatives, mais comme du Teflon sur les positives.” (Dr Rick Hason, psychologue) 

    Il s’accroche au négatif, et il glisse sur le positif, comme s’il n’avait aucune emprise. 

    Pourquoi pas l’inverse ?!

    Des souvenirs à tendance négative

    Nous avons tendance à nous souvenir plus facilement des aspects et des événements négatifs. Pourquoi ?! Parce que notre cerveau a été “déformé” depuis notre naissance jusqu’à l’instant où tu lis ces lignes. Nous collectons les informations pour les stocker en souvenirs, plus ou moins altérées par notre perception, qui elle-même passe à travers une multitude de filtres, de suppositions, de prédictions, d’hypothèses, etc.. 

    Depuis la nuit des temps, on a exercé notre cerveau à nous alerter des dangers potentiels, qu’il vient puiser dans nos souvenirs, surtout les négatifs, qui faussent notre perception de la réalité. (On parle aussi de “biais négatif” ou “biais cognitif”). C’est encore une forme de croyance, qui a tendance à tordre la vérité en déviant systématiquement la pensée logique par rapport à la réalité.

    On peut renverser la tendance !

    Je te parle souvent de changement et il est tout à fait possible de “reprogrammer” notre cerveau en l’habituant à extraire que les bons souvenirs.

    Quand tu écoutes la chanson de Johnny, Souvenirs, souvenirs, Johnny ne raconte que de belles histoires. Écoute attentivement et remarque que les mots choisis font appel à nos cinq sens, ceux qui éveillent justement nos “bons souvenirs” :

    • “refleurir” (odorat/vue), 
    • “joue contre joue” (toucher), 
    • “mille fleurs, mille baisers” (vue/odorat/goût), 
    • “chansons” (ouïe)

    Johnny se remémore une saison bien particulière : l’été. L’été, c’est le soleil, les vacances, les fêtes, la danse, les sorties entre copains. Et Johnny, quand son ciel devenait gris (mauvais souvenirs ?), il le colorait à coups de souvenirs enchantés. Chapeau, Johnny !

    On peut faire pareil : ne se souvenir que des bons souvenirs ! Quand la tristesse remonte, quand le stress nous gagne. 

    Pour cela, je te propose ce test de méditation “ARRET” qui sollicite tes 5 sens. 

    Test de méditation “ARRET”

    Tu peux le pratiquer depuis chez toi, au bureau, à l’extérieur. Il peut durer 10 à 20 mn, selon l’effet désiré… et ton état.

    Suis les différentes étapes à l’aide des différentes lettres.

    1. A, comme “Arrête”. ARRETE ! Arrête ce que tu es en train de faire… Ferme les yeux quelques instants, la séance va commencer…
    2. R, comme “Respire”. Concentre-toi sur ta respiration ; inspire profondément, expire lentement, doucement, en relâchant les épaules. Reprends le contrôle sur ton souffle, tu es peut-être souvent en apnée, tu respires par saccade, ce qui va te fatiguer plus rapidement. Fais-le minimum 10 fois. Prends ton temps.
    3. R, comme “Regarde”. Depuis là où tu te trouves, regarde, observe ton environnement. Découvre tout ce qui t’entoure, comme si c’était la première fois que tu le regardais. Promène tes yeux lentement, en t’attardant sur certains objets qui vont t’attirer.
    4. E, comme “Écoute”. Concentre-toi sur les bruits qui remontent à tes oreilles. Le passage des voitures, le gazouillis des oiseaux, le vent dans les arbres, un chien qui aboie, des voisins qui parlent, le tic-tac de l’horloge… Ou bien le silence… Accueille favorablement chaque son, sans le juger, prends-en simplement conscience.
    5. T, comme “Touche”. Fais courir tes mains sur ce qui t’entoure : la table basse de ton salon, le plaid sur ton canapé, le laminé froid de ton bureau, ton jean… Caresse ton visage, effleure une plante… 

    Dès que tu sens les effets de cet exercice de “pleine conscience”, et que tu te sens apaisé(e), détendu(e), que le stress t’a quitté(e), remets-toi doucement à vaquer à tes activités, tes occupations.

    Comment te sens-tu ? Cliques ici !😊

  • Pourquoi est-il préférable d’arracher la page plutôt que la tourner ?

    Pourquoi est-il préférable d’arracher la page plutôt que la tourner ?

    Pour beaucoup d’entre nous, le passé est une entrave à notre présent et nous empêche de nous projeter dans le futur. Il nous coupe aussi l’envie de rêver. À quoi bon ?!

    Échecs, événements traumatisants, enfance difficile sont autant de raisons qui nous poussent à utiliser souvent le rétroviseur pour avancer… On y jette des coups d’œil nerveux alors que nous faisons du sur place, coincés sur le parking, enfoncés dans une impasse.

    Mon passé a été longtemps pour moi une source amère, et lorsque je le ressassais avec des amis lors d’une soirée, la boue, les déchets qui remontaient à la surface provoquaient en moi tristesse et peur, dégoût et découragement. 

    J’ai réalisé que certaines pages de mon histoire méritaient d’être arrachées et brûlées, car la tentation de feuilleter à nouveau les années de ma “jeunesse perdue” était trop grande. En effet, c’est plus facile de s’apitoyer sur son sort plutôt qu’essayer de s’en sortir.

    Quand j’en ai pris conscience, des années et des années plus tard, j’ai réglé mon passé en déchirant les pages douloureuses de mon histoire car elles continuaient à me ravager trop souvent à mon goût.

    À la fin de cet article, je te souhaite de n’oublier aucune de ces pages : feuillette le livre de ta vie une dernière fois si tu le veux, puis, arrache-les, sans hésitation.

    À quoi sert le rétroviseur

    Pour tous ceux qui sont motorisés, c’est fort utile ! Quand on fait un créneau, quand on veut dépasser un autre véhicule, quand on veut tourner, etc. C’est un dispositif fort ingénieux qui permet aux conducteurs d’observer leur environnement impossible à voir en marche normale : soit à l’arrière, soit sur les côtés. 

    Dans la vie de tous les jours, c’est la même chose. Le passé est utile, mais uniquement si nous en avons retiré des leçons de vie. Sinon, il ravage notre présent, ruine notre avenir.

    Que se passe-t-il quand on a tendance à regarder trop souvent et longtemps dans ces petits miroirs ? Nous courons le risque de provoquer des accidents. Ce système de contrôle peut devenir dangereux : une collision, un dérapage, parce qu’on n’a pas anticipé dans le présent. Parce qu’on a ignoré les avertissements : trop près, trop rapide. 

    En effet, quand on a les yeux braqués derrière nous, il y a danger car on oublie de focaliser sur le présent, sur les événements qui sont en train de se réaliser, les bons comme les mauvais, d’ailleurs ! On en oublie aussi de vivre l’ici et le maintenant, de voir les petits bonheurs qui passent sous notre nez… De réagir en cas de problème, trop (pré)occupés à penser au passé.

    Non seulement on ne voit pas ce qu’il y a devant nous, à côté de nous, mais on frôle aussi l’accident à tout moment : 

    • On s’engage trop rapidement dans une nouvelle relation.
    • On contracte un nouveau crédit malgré nos dettes.
    • On refuse une promotion à l’autre bout du pays par peur de l’inconnu.
    • On passe à côté de la bonne personne qui pourrait bien nous rendre heureux(se).

    Et je peux multiplier les exemples ! Le passé, quand il ravive nos échecs et nous fait oublier nos leçons de vie, est très néfaste. Il agit comme des chaînes à nos pieds, nous ralentissant ou nous entravant pour avancer. Pire, il nous paralyse sur le quai de la gare, incapables de monter dans le train suivant, celui qui pourrait nous conduire sur la voie du bonheur.

    Les leçons de conduite

    Le rétroviseur – notre passé – n’est nécessaire que pour analyser rapidement la situation de notre présent. Il nous permet aussi de nous rappeler que la dernière fois, on a mal anticipé ou mal analysé certaines situations.

    Regarder de temps à autre certains vieux souvenirs est utile pour : 

    • Nous enseigner le mode d’emploi nécessaire pour avancer dans le présent, pour bâtir notre vie. 
    • N’en tirer que les bonnes leçons et laisser les échecs loin derrière nous.

    Et… c’est tout ! 

    Le rétro est utile pour nous rappeler ce que l’on a appris, compris, ce que l’on est devenu après un choc, un échec, un accident, une perte, une séparation ou un deuil. “Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort”, dit Nietzsche. Cela s’avère vrai, à deux conditions, selon moi :

    1. En laissant derrière nous tous les événements négatifs et en ne gardant que ceux qui nous ont instruits.
    2. En ne retenant que le meilleur : dans le pire, le désagréable, la tristesse ou la douleur. 

    Car il y a toujours deux côtés : le bon et le mauvais. Le recto et le verso. L’un comme l’autre sont utiles, seulement et seulement si on cherche à changer la perception que l’on a de nos événements, pour transformer le négatif en positif.

    Difficile à croire ?! Je te comprends.

    Cependant, quand je fais aujourd’hui (et assez régulièrement) le bilan de tout mon passé, tout ce qui m’a blessée, les échecs, les chutes, je soupire de soulagement ! Je regarde dans le miroir et je vois la femme plus prudente, raisonnable et expérimentée que je suis devenue. Et je te dis sans honte aucune, sans faux orgueil que je suis fière du chemin parcouru, et oui, même des ratages ! 

    Sans ces événements, qui ont contribué à me construire, à affirmer ma personnalité, si je n’avais pas multiplié mes essais, je serais restée immature, insolente et orgueilleuse, incapable d’évoluer. Je serais passée à côté des belles rencontres, des opportunités, des expériences riches qui m’ont fait évoluer et continuent à le faire. Tout ce qui construit mon bonheur présent.

    “Regarder devant soi, c’est sécuriser notre présent pour ouvrir la route de demain.”

    Alors… tourner ou arracher ?

    Sans aucune hésitation, arracher ! La nostalgie, les confidences entre amis, un coup de blues, un souvenir, et vlan, voilà que le passé remonte comme des nuages gris et noirs et assombrit notre présent. Arracher, c’est enlever la racine de tout ce qui nous fait ou nous a fait souffrir.

    Tourner les pages de notre histoire en arrière, c’est faire remonter les larmes, c’est :

    • Attiser notre colère éteinte
    • Désirer se faire justice
    • Crier vengeance
    • Entretenir notre rancœur. 

    C’est aussi :

    • Rester paralysé par la peur
    • Se priver de courage et de détermination pour avancer dans la vie
    • Manquer la prochaine étape pour “passer à autre chose”

    Que pouvons-nous changer de notre passé ? Rien. Pouvons-nous réécrire ce qui s’est produit ? Absolument pas ! En revanche, nous avons la responsabilité de ne pas reproduire les mêmes erreurs.

    Quant aux autres événements qui se sont réalisés, indépendants de notre volonté, ceux que nous avons subis, et qui ont fait de nous une victime, il n’est pas trop tard pour reprendre le contrôle de notre vie, en laissant le passé derrière nous. 


  • Comment arrêter de confondre le passé avec le futur ?

    Comment arrêter de confondre le passé avec le futur ?

    J’ai souvent pensé que je reproduirai mes échecs à l’infini, parce que j’ai entendu des phrases fatales comme ; “Tu es trop nulle” ou “tu n’arriveras à rien”, pratiquement tous les jours, pendant près de 6 ans.

    Il est vrai aussi que je n’ai pas su tirer les bonnes leçon de mes erreurs, parce que poursuivie par ces mots destructeurs, je m’obstinais à croire que j’y arriverai en dépit de tout. Sauf que je prenais toujours les mêmes chemins qui me conduisaient dans les mêmes impasses. Un peu comme une voiture téléguidée qui bute dans un mur à l’infini, jusqu’à ce qu’on la remette sur la bonne trajectoire.

    Et puis, j’ai vécu de belles opportunités qui m’ont permis de rebondir. J’ai tout simplement arrêté de calquer mon passé sur mon futur, j’ai cessé de faire la confusion entre l’avant et le maintenant. J’ai décidé d’écrire mon futur, en tenant compte de mon passé, en essayant de le comprendre pour mieux apprendre.

    Voici 3 étapes pour éviter que ton passé n’éclipse ton futur.

    Étape n° 1- Analyser le passé

    J’ai déjà évoqué, dans cet article, la nécessité de faire régulièrement des bilans, et pas seulement le 31 décembre ou le 31 août. Dans le domaine de la santé, en général, on pratique des analyses quand des troubles ou des dysfonctionnements se font ressentir.

    Si seulement on pouvait bénéficier de ce même dispositif pour l’ensemble de notre vie ! Une prise de sang, et hop, on revient avec une analyse complète de notre passé. Et avec, une ordonnance pour améliorer notre sort. J’ai une bonne nouvelle pour toi, ce système existe : tu peux entreprendre cette démarche avec un coach de vie. Écris-nous, et on sera ravi de t’accompagner dans ce bilan. Cela signifie aussi que tu peux le faire par toi-même dès aujourd’hui, à l’aide de cette première astuce.

    En balayant les 7 domaines de ta vie, considère :

    1. Ce qui a bien fonctionné
    2. Ce qui s’est soldé en échec, drame ou catastrophe

    Ensuite, félicite-toi pour tout ce que tu as entrepris et réussi, surtout si personne de ton entourage ne le fait pour toi. D’autant plus si tu n’as pas été encouragé(e) dans ta vie ou conseillé(e). Ce n’est ni de l’orgueil, ni de l’autosatisfaction, c’est seulement une bonne méthode pour entretenir son estime de soi, pour garder en tête que l’on a de la valeur.

    Ceux qui ne comprennent pas leur passé sont condamnés à le revivre.” (Goethe)

    🔎 Puis, regarde à la loupe tes échecs dans le but de comprendre les pourquoi et les comment de tes échecs pour sortir de la boucle de tes scénarios catastrophe.

    Étape n° 2- Lâcher le passé

    Plus facile à dire qu’à faire ! Le jour où j’ai arraché les pages douloureuses de mon histoire – méthode radicale, certes, mais tellement efficace – quel soulagement ! Quand j’ai été tentée de regarder en arrière : zut ! ll manquait des pages, impossible de retrouver certains détails. Mais les grandes lignes, les souvenirs brûlants ne m’ont pas donné envie de le reprendre, encore moins de le revivre. Ils ont fini par s’estomper, et quand j’y pense parfois, ils agissent comme des mirages, il s’efface très rapidement. 

    La plupart du temps, c’était la peur qui me dictait de retourner en arrière. 

    • Vais-je à nouveau me ramasser ?
    • Vais-je être encore rejetée ?
    • Suis-je condamnée à ne rien réussir ?

    Or, quand on se blesse, quelle est notre première réaction ? On lâche tout ! On jette l’allumette qui brûle les doigts, on lâche l’outil qui nous blesse. Et on hurle en même temps, histoire d’évacuer la douleur.

    Avec le passé, pourquoi ne faire de même ? Lâcher, arracher, jeter, brûler… tous les mauvais souvenirs qui nous hantent, nous paralysent et nous empoisonnent est la meilleure solution que j’ai trouvée à ce jour pour vivre dans l’ici et le maintenant. Cet état qui nous plonge plus facilement dans le bonheur, alors que le passé nous fait revivre le malheur.

    Du passé il suffit de tirer des leçons, inutile d’y revenir ou de s’y attarder, il faut penser à l’avenir. Celui qui s’accroche au passé n’avance pas, il s’ankylose.” (Omraam Mikhael Aivanhov)

    📏📙📐 Désires-tu avancer ? Construire ton avenir ? Le lâcher prise, la prise de risques pour un avenir meilleur est un cocktail très efficace qui consiste à prendre des décisions : nous ne sommes pas obligés de recommencer les mêmes erreurs, seulement apprendre d’elles.

    Étape n° 3- Utiliser le passé

    Utiliser son passé, c’est tirer des conclusions sur nos actes qui ont entraîné des conséquences désagréables, pénibles ou graves. Cependant, il est possible de le faire avec un esprit neuf, positif, qui change d’objectif (de lunettes) pour regarder les événements sous tous leurs angles, et pas que l’aspect négatif.

    • J’ai fait faillite : pourquoi ? J’ai fait une erreur de gestion en choisissant la mauvaise personne avec un salaire inapproprié. 
    • Je remonte une entreprise : vais-je encore déposer le bilan ? Non, pourquoi : parce que je ne vais pas reconduire cette erreur une seconde fois.
    • Comment ai-je utilisé mon passé pour créer ma nouvelle boîte ? En m’orientant vers une structure différente, qui m’assure une sécurité financière.

    Mes réflexions d’aujourd’hui sur hier m’ont permis de créer un avenir durable et fiable, j’ai compris mes erreurs et je ne les reproduirai plus.

    N’utilisez pas l’esprit d’hier pour percevoir les événements d’aujourd’hui.” (Tchouang Tseu)

    Et cap sur l’avenir !

    Regarder en arrière donne des torticolis, et pas seulement. Cela nous empêche de :

    • Focaliser sur le présent pour bâtir des projets 
    • Profiter de l’instant T, de l’ici et maintenant
    • Voir les petits bonheurs qui sont à notre portée
    • Résoudre nos équations actuelles, comme la formule du bonheur

    Quels sont les événements passés que tu ne voudrais ne pas revivre, mais recommencer en t’y prenant différemment ? Si on te donnait la possibilité de recommencer en évitant les pièges, qu’en ferais-tu ? 

    C’est ça, regarder devant. C’est cette démarche en 3 étapes qui te permettra de mettre le cap sur l’avenir : tenir compte de son passé : sans être ni appesanti par les mauvais souvenirs, ni culpabilisé par nos erreurs, ni accablé par les autres. C’est vivre sa vie en toute liberté et non survivre par peur de revivre les mêmes épisodes toute son existence.

    Pour résumer, retiens cet acronyme facile à mémoriser : ALU comme “allumer”, allumer la mèche qui va faire décoller ton avenir. 

    1. Analyse le passé
    2. Lâche le passé
    3. Utilise le passé

    La vie doit être vécue en regardant vers l’avenir, mais elle ne peut être comprise qu’en se retournant vers le passé.” (Soren Kierkegaard)

  • Comment empêcher nos craintes pour l’avenir de se réaliser ?

    Comment empêcher nos craintes pour l’avenir de se réaliser ?

    L’avenir est fait d’incertitudes et d’inconnues pas seulement pour une poignée d’êtres humains ou une majorité écrasante, non, mais pour tout le monde. Ne pas le connaître fait peur, ne pas savoir de quoi demain sera fait angoisse un simple salarié lambda comme un cadre brillant à la carrière prometteuse. Une mère de famille ou un célibataire endurci. Chacun oriente ses peurs en fonction de ses attentes et va échafauder soit des prévisionnels (on n’est pas à l’abri !) soit des plans catastrophes. L’argent n’est pas un parapet de sécurité malgré ce que l’on pourrait croire. Pas plus que les assurances qui ne sont pas des garanties satisfaisantes au point de nous assurer une paix inconditionnelle.

    Alors que certains se tournent vers des spécialistes du futur – autrement dits des voyants ou des médiums – d’autres, comme moi, ont mis en place des stratégies pour l’appréhender de la meilleure manière possible. Et conserver son bonheur intact.
    Voici un trousseau de 5 clés : léger, facile à emporter partout avec toi. Tu ne regarderas plus l’avenir de la même façon.

    🔑 Clé 1 – Avoir des objectifs

    Se fixer des objectifs est très motivant et il est primordial d’en avoir en permanence sous le coude ! Même d’apparence insignifiants, comme aller faire un pique nique le week-end prochain ! 

    Mais pourquoi faire ? 

    • Pour donner un sens à sa vie
    • Pour décider par soi-même et ne pas laisser les autres, les événements décider pour soi
    • Pour entretenir la confiance en soi 
    • Pour chasser l’anxiété ou réduire le stress 
    • Pour un sentiment fier d’accomplissement, de réussite personnelle
    • Pour gagner en temps et en efficacité

    Et puis, un projet en appelle un autre : on prépare le suivant quand le premier est réalisé. Sans tomber dans des buts inaccessibles ou fixer la barre trop haute, c’est tout simplement réfléchir à ce qui pourrait contribuer à nous satisfaire pour empêcher la peur de nous paralyser, à l’avenir de nous stresser. “Que va-t-il se passer demain ?” La plupart du temps, ce que tu auras prévu en grande majorité, enfin, si tu es un tant soit peu organisé(e)… (Voir Clé 3)

    La meilleure méthode pour combattre l’anxiété ou la négativité, pour se maintenir en bonne santé mentale et physique, c’est de se fixer des objectifs… dans l’avenir qui fait peur ! Pour le regarder en face et lui dire qu’on le prend en main.

    Et puis, quelle est la probabilité que nos scénarios catastrophe se réaliseront ? Aucune ! Car l’étape suivante, c’est de bien se préparer ! 

    🔑 Clé 2 – Se préparer / s’équiper

    La vie n’est ni un conte de fées ni un drame en séries illimitées. Malgré son caractère imprévisible, elle peut se dérouler de la manière avec laquelle tu te prépares à écrire ton histoire.

    Il ne te viendrait pas à l’idée d’aller courir un marathon sans entraînement régulier, une préparation physique bien étudiée, adaptée, n’est-ce pas ?

    Pas plus que de te rendre à un entretien d’embauche sans CV, prétentions et argumentaire soigné ?

    L’avenir ne fait pas exception à la règle. 

    Se préparer, c’est : 

    • S’équiper de connaissances
    • S’entourer des bonnes personnes
    • Se former pour décrocher le job de ses rêves
    • Bien connaître la personne avec laquelle on veut finir sa vie
    • Sacrifier certaines saisons de notre vie pour se former
    • Etc.

    Le but, c’est tout simplement éviter de 

    • Se retrouver coincé(e) dans une impasse
    • Renouveler des échecs qui ne font qu’alimenter la peur du futur : “Tu vois, je te l’avais bien dit !…” 
    • Se sentir impuissant(e), démuni(e) : “Je ne savais pas !
    • Rester à terre : “Ça sera toujours pareil !

    Ce qui m’a sauvée, dans la vie, c’est d’être toujours en mode “apprentissage”. Pour ne pas être collée par un client (j’ai 25 ans de commercial dans les bottes), j’apprenais tout sur le sujet et je devenais une “experte” sans qu’on me le demande. C’était la valeur ajoutée que j’apportais à ma clientèle, une façon de me rassurer que j’assurais mes ventes. C’était ma méthode pour combattre ma peur du lendemain ! 

    C’est également une excellente manière d’anticiper, comme d’empêcher certains échecs de se reproduire, avec la clé n°3.

    🔑 Clé 3 – Anticiper

    Une autre manière de combattre la peur de l’avenir est de se montrer très méticuleux sur ses projets. J’ai remarqué qu’anticiper ou s’organiser combat efficacement le stress ou la peur du lendemain car cela limite les incertitudes. C’est pourquoi j’ai toujours tenté au maximum de prévoir dans tout ce qui est à ma portée, en tenant compte, bien évidemment, des facteurs inhérents à ma propre volonté ou mes choix.

    Aussi, en scannant les 7 domaines de ta vie, tu as la capacité d’anticiper :

    • Ta retraite : épargne, renseigne-toi sur les bons plans pour vivre décemment après 65 ans.
    • Ton sentiment de solitude : provoque les rencontres, les activités où tu seras au contact des autres ; prévois des sorties à l’avance.
    • Ta santé : si tu as peur de vieillir trop vite, prends soin de toi et le plus tôt possible.

    Attendre que les choses arrivent à soi est le contraire de l’anticipation. Bien sûr, de bonnes surprises peuvent tomber ! En revanche, la passivité ne te rendra pas service, alors qu’au contraire, l’action te permettra d’atteindre tes objectifs, et même le meilleur !

    🔑 Clé 4 – Rester actif

    Quand on décide de prendre sa vie en main – en fonction de nos capacités qui sont tout de même limitées qu’on peut toujours augmenter ou perfectionner – quels sont les risques qu’elle nous échappe et que nos prédictions de malheur se réalisent ?! Aucun ! Parce qu’on aura mis en place les moyens nécessaires pour les bloquer. 

    Planifier des plans d’action en fonction de tes objectifs t’évitera les mauvaises surprises et ne permettra pas à la crainte du futur de s’installer.

    Il est évident que si on laisse faire les choses malgré nos peurs, si on reste passif face à l’avenir sans ni bouger, ni planifier, ni prévoir, rien ne se passera. Au contraire, le pire envisagé a toutes les (mal)chances de se produire.

    Bien sûr, il y a toujours une part d’imprévisible, mais il n’en demeure pas moins que la majorité de nos peurs ne se réalisent pas parce que nous sommes en position de décideur et de meneur. Nous décidons de ne plus subir la vie, résigné(e) et fataliste. Ce qui te conduit directement à la dernière clé.

    🔑 Clé 5 – Imaginer le meilleur

    Plutôt qu’imaginer le pire pour ton avenir, et si tu décidais qu’il sera meilleur ? Ces 4 premières clés te permettent d’ouvrir les plus belles portes de ton futur. À toi de l’écrire, maintenant :

    • En renouvelant tes objectifs de vie chaque année
    • En te préparant 
    • En anticipant : tu subiras moins les événements car c’est toi qui les provoqueras
    • En restant toujours en mouvement, motivé(e) et enthousiaste : avec des pensées et des paroles positives pour “créer la vie” autour de toi 

    Car ce que tu redoutes arrive la plupart du temps par manque d’objectifs, de préparation, d’anticipation et d’actions. La peur nous prive de nos moyens, nous vole notre assurance et cela se répercute sur nos paroles et nos gestes, provoquant des incidents et des accidents de parcours…

    Alors, visualise ton futur avec des lunettes optimistes et attends-toi au meilleur en allant ici !

  • Comment renverser les 4 mauvaises habitudes qui nuisent à notre bonheur

    Comment renverser les 4 mauvaises habitudes qui nuisent à notre bonheur

    Focaliser sur le négatif, critiquer, juger et se plaindre sont les 4 mauvaises habitudes qui vont faire obstruction non seulement à notre bonheur mais aussi à celui des autres.

    Pourquoi toujours focaliser sur le négatif ? Ou rejeter le positif ? Pourquoi critiquer sans cesse ? Juger va-t-il arranger la situation ou la personne ? À quoi cela sert-il de se plaindre ?

    Tout démarre de nos pensées qui se transforment en paroles.. Notre bouche est comme un canal par lequel se déverse un flot de mots négatifs, pessimistes ou défaitistes. Cela nous fait souffrir ainsi que notre entourage.

    Je t’ai déjà dit précédemment que notre bouche avait un grand pouvoir : celui de “donner la vie ou la mort”, de construire ou de détruire – une situation, une rencontre – ou de prononcer la sentence d’un échec – catastrophe, faillite, perte, etc. (Lire Une des facettes du bonheur : être en perpétuel apprentissage)

    Que préfères-tu, sincèrement ? La vie ou la mort ? Créer ou détruire ? Construire ou démolir ?

    Tu as le choix et c’est totalement en ton pouvoir de changer ces 4 habitudes. Abattre ces 4 murs, c’est abattre ton malheur (ou l’absence de bonheur).

    Quand nos filtres sont encombrés par ces tendances, nous oublions que nous vivons également d’heureux événements, que la vie est majoritairement composée d’instants positifs !  

    Tu es prêt(e) à tout “casser” ?  😊

    1- Focus sur le plus !

    Certaines personnes – j’en faisais partie ! – ont cette fâcheuse tendance à ne remarquer que le négatif : les défauts, les absences, les faiblesses ou les défaillances. Même une seule sur dix, et pan, tout le reste tombe par terre. Les 9 qualités, présences, forces ou ressources ne comptent pas. Envolées, disparues, au profit de cet unique point noir.

    Je me souviens d’une anecdote, quand j’étais jeune ado, alors que je faisais du baby-sitting. Pendant que le bébé dormait, j’en ai profité pour faire du ménage, du repassage pour soulager la maman, lui faire tout simplement plaisir. C’était un vrai champ de bataille, il y en avait partout ! Tu sais quoi ? Elle a trouvé une couche sous le lit – celle que j’avais changée et que j’avais oubliée de jeter ! -, me l’a reproché et ne m’a pas remercié pour le reste. Elle a fait focus sur le négatif, rejeté le positif… Et moi, je m’en souviens encore ! 😊

    • Considère tous les aspects de ta vie, trie-les en te montrant honnête, et tu comptabiliseras davantage de plus que de moins 
    • Enfin, accepte que l’on soit généreux, bienveillant envers toi, reçois ces cadeaux de la vie

    🔨 À toi de jouer : casse le mur du “rejet du positif”.

    2- Descendre du pic de la critique

    La critique provient de plusieurs facteurs : la jalousie, l’envie, la comparaison, et parfois, d’un profond ennui. Les personnes qui critiquent beaucoup se repaissent des défauts des autres, car les éloges de la qualité, c’est moins fun. Elles passent en revue tous les faits et gestes des autres en relevant la moindre défaillance ou faiblesse et montrent une totale intolérance face à l’échec ou l’erreur. Elles n’ont pas conscience qu’elles sont, elles aussi, “coupables” des mêmes, parfois pires !

    • Si tu aimes parler des autres, alors préfère la critique constructive à celle qui démolit. 
    • Mieux encore : choisis d’encourager, de féliciter, de complimenter et de valoriser. Non seulement tu feras plaisir à celui ou celle qui la reçoit, mais en plus, tu te te sentiras heureux(se) d’être l’auteur de paroles positives et de faire du bien.

    🔨  À toi de jouer : enlève la poutre de ton œil et tu ne verras plus la paille dans celui de ton voisin. (Paraphrase de l’Évangile de Luc, la Bible)

    3- Casser le mur des lamentations

    Bien souvent, les plaintes pleuvent dans le dos de la personne parce qu’on n’a pas le courage d’aller l’aborder pour lui exprimer son malaise ou son incompréhension, ou parce qu’on a mal interprété ses propos ou comportements. 

    Ou bien pour se soulager d’une situation qui nous pèse au travail, dans notre couple ou en famille, dans une relation.

    L’intéressé(e) ou l’objet de notre critique ressemble à une cible d’un jeu de fléchettes. Criblé de partout… On ressasse le problème à l’envers, à l’endroit, on le retourne du côté droit, gauche, on l’inverse la tête en bas, en haut. Bref, quand on a fini de manipuler les 6 côtés, on en a la nausée, mal au ventre, au cœur, on attrape un gros chagrin et une insomnie par dessus le marché.

    Qui est le plus malheureux, le plus indisposé, dans l’histoire ? L’intéressé(e) ou toi ? Cela va-t-il changer la situation, la relation ?

    Je vais te raconter un épisode qui a marqué la fin de mon désastreux mariage. Je ne cessais de me plaindre de mon mari à mon confident. Ce dernier, fort patient, et fort sage, a fini par me proposer 2 options : 

    • Soit tu restes avec lui et tu t’accommodes de la situation, mais tu arrêtes de te plaindre !
    • Soit tu bouges de là parce que tu ne peux pas la changer ! Mais prends une décision, parce que ça ne change rien de pleurnicher sur ton sort !

    Deux jours après, je suis partie de chez moi.

    Je ne dis pas de divorcer ! Je te propose d’agir plutôt que de te plaindre, car la plainte ne résout en rien notre problème

    • Elle ne fait que nous déconcentrer des solutions qu’on pourrait trouver.
    • Elle nous vole notre sérénité.
    • Elle nous sape notre énergie.

    Attrape une feuille : fais 2 colonnes des + et des – :

    • Si les aspects négatifs sont plus nombreux que les positifs, alors tu auras un choix à faire . Rester malheureux(se) ou confronter la situation pour la changer. 
    • Si c’est le contraire, alors il te suffirait peut-être de focaliser sur les “plus” : relis le paragraphe 1. 😉

    🔨 À toi de jouer : casse le mur des lamentations pour reconstruire ton bonheur, rien n’est perdu, un nouveau départ t’attend !

    4- Toi qui juges, tu seras jugé(e) !

    Nous avons parfois ou souvent tendance à prendre nos jugements pour de la pure réalité. Nous les faisons fusionner avec la vérité alors que nos opinions ou nos perceptions ne sont pas la réalité. Nous ne parvenons pas à faire la différence entre les deux. La multitude de jugements que nous prononçons sur les autres, des événements, des lieux, des goûts… ne sont que des avis personnels ou des interprétations parmi d’autres ! 

    Le pire, c’est quand nous pratiquons le jugement un peu partout, n’importe quand, tout le temps et de manière implacable. Alors que ce que l’on déclare ne définit en aucun cas leur aspect définitif, leur nature profonde ou véridique. 

    Nos jugements sont arbitraires, subjectifs et bien souvent dénués d’indulgence, d’empathie ou de gentillesse. 

    Nous n’avons pas l’habitude de regarder les choses, les gens, les événements pour ce qu’ils sont mais à travers d’autres filtres : éducation, culture, généralités, etc. 

    Apprends que les gens heureux s’occupent plutôt des côtés positifs de leurs semblables. Alors que certains traits ou aspects de leur caractère pourraient leurs déplaire, il préfèrent focaliser sur ce qu’ils ont de meilleur. Aussi, ils peuvent estimer la personne tout en déplorant un défaut, sans chercher ni à la rejeter ni à la condamner.

    • Montre-toi aussi indulgent(e) envers les autres qu’envers toi-même. Sinon, tu seras jugé(e) de la même manière avec laquelle tu as accusé l’autre, sinon plus radicalement. 
    • Préfère dire “je n’aime pas ce défaut chez lui(elle)” à la place de “il est nul”, “elle est mauvaise”. 
    • Enfin, cherche en priorité les qualités : tu t’apercevras qu’elles sont la plupart du temps bien plus nombreuses que les travers.

    🔨 À toi de jouer : brise tous tes préjugés en jetant ta toque de juge !

    Tout est tombé ? Bravo ! Reste vigilant(e), j’ai remarqué que certains murs avaient la brique dure. 😁 En savoir plus ici !

  • Quels sont les filtres qui font obstruction au bonheur ?

    Quels sont les filtres qui font obstruction au bonheur ?

    Notre vision du monde varie en fonction des filtres que nous avons accumulés au fil de notre existence. Certains sont si encrassés, par une perception erronée des événements, qu’ils faussent la réalité, déforment la vérité et nous éloignent toujours plus du bonheur auquel nous avons tous droit. 

    Nous allons inspecter ensemble ton cerveau, le démonter et déposer sur la table chaque filtre pollué pour les nettoyer un à un. Non, ce n’est pas un remake du Silence des agneaux…

    Quels sont ces filtres ? Comme dans une voiture, il y en a un certain nombre… 

    J’ai répertorié les plus évidents, ce que tu n’auras aucun mal à identifier en toi, car nous avons tous pratiquement les mêmes. Rappelle-toi que ces filtres sont véhiculés par nos pensées. 

    Une étude menée à l’université du Texas par le Docteur Raj Raghunathan et ses collègues ont permis d’évaluer que 60 à 70% de nos pensées sont négatives, ce qui correspond à 36 000 – 42 000 pensées par jour sur 60 000. 

    En effet, nous sommes une grande majorité à apporter plus de poids et plus de crédit aux pensées négatives lorsque nous prenons des décisions, celles qui pourraient, par exemple, augmenter notre bonheur, nous permettre de nous épanouir ou de développer notre potentiel réussite. 

    Comme nous avons peur de l’expérience négative, alors nos choix se portent sur la passivité plutôt que sur l’action qui pourrait éventuellement conduire à un résultat positif. 

    Parce que nous avons la vue bouchée par de nombreux filtres. Les voici :

    1- L’éducation, notre héritage familial

    Nous traînons, si tu me permets l’expression, les valises de notre famille, de nos ancêtres. Certaines sont remplies de pépites, d’autres alourdies par de gros cailloux, voire des rochers… Je te laisse deviner ou découvrir ce que tu dois balancer à la mer et ce que tu dois conserver précieusement.

    Quelques pépites de mon éducation :

    • Sens de la famille, amour, protection
    • Politesse, respect
    • Intégrité, sincérité
    • Empathie, entraide, partage
    • Sens du relationnel, sociabilité
    • Esprit d’entreprise

    Les gros cailloux dont j’ai dû me débarrasser :

    • Manque de tolérance
    • Difficulté à communiquer
    • Esprit critique
    • Vision limitée
    • Immobilité/retour dans le passé

    🔎 Ces exemples t’ont inspiré(e) ? À toi de jouer.

    • Soit tu gardes et polis certains cailloux pour les faire briller jusqu’à ce qu’ils se transforment en pépites
    • Soit tu te débarrasses des autres, bien trop encombrants
      En fonction des résultats, ajuste les + et les -.

    En triant mon tas de cailloux, j’ai dû apprendre à devenir tolérante, à cultiver la critique constructive, à m’ouvrir et à avancer, en tirant des leçons du passé…

    2- La tendance à tout généraliser

    Ce filtre intervient lorsqu’une personne conclut, à partir d’un seul événement négatif, que sa vie sera parsemée d’échecs et de déceptions. C’est comme si elle annonçait, par prédiction, que chaque histoire qu’elle entame finira mal, parce qu’elle a connu sa première déception amoureuse à l’âge de 15 ans. 

    🔎 Stopper cette tendance te permettra de vivre, de t’autoriser à expérimenter d’autres rencontres, de nouer des relations, de connaître une vie de couple.

    3- Les croyances nées de nos mauvaises expériences

    Ce filtre correspond à une forme exagérée de généralisation vue plus haut. Les personnes qui l’utilisent finissent par cataloguer toute personne ou toute situation à l’identique. Elles les jugent de manière négative et intransigeante parce qu’elles ont vécu des expériences qui se sont soldées par des échecs.

    Généraliser en fonction de notre vécu peut nous transformer en personnes catégoriques et intolérantes et qui rejettent nos semblables. Ce comportement blesse les autres et nous-mêmes, nous sommes à notre tour exclus et restons emmurés derrière des barrières de protection, remplis d’amertume.

    Mon mari était militaire ; j’ai divorcé. Mon frère est un ancien militaire ; il est plutôt renfermé et distant. Deux de mes anciens amis étaient militaires, l’un a divorcé et je les ai perdus de vue tous les deux. Est-ce que tous les militaires ont des problèmes relationnels ? Non ! Dois-je fuir dès que j’aperçois un militaire ? Non, bien sûr ! 

    🔎 Choisis de faire du “cas par cas”, en tirant des leçons de tes expériences et en évitant de reproduire les mêmes erreurs, tout en apprenant de ces dernières. Tout le monde n’est pas à mettre dans le même panier…

    4- Le conclusions hâtives

    Ce filtre consiste à déformer les faits sans vérifier les preuves ou leur véracité pour établir une conclusion pire qu’elle ne l’est en réalité. Ces conclusions sont, bien entendu, majoritairement négatives. Cela conduit à imaginer des scénarios catastrophe comme une certitude, avec la conviction que cela se produira à chaque fois. 

    Cela signifie-t-il que cette conclusion se dessinera systématiquement ? Bien sûr que non ! Il est impossible d’affirmer que tous les événements que l’on a vécus de près ou de loin (ou pas) vont se reproduire à l’identique et à l’infini.

    J’ai eu longtemps une peur bleue des foules, des attentats, des agressions. Il m’était impossible d’aller à des concerts, dans une gare bondée. J’ai fini par vaincre ma peur en me convainquant que tous les rassemblements publics ne sont pas fréquentés par des terroristes ou des psychopathes.

    🔎 Prends du recul pour analyser toute situation, en révisant ta perception habituellement négative en positive. Persuade-toi que “tout va bien se passer” et tu verras que les paroles positives engendrent des faits positifs.

    5- Le rejet systématique du positif

    Les personnes qui utilisent systématiquement ce filtre ont l’art de transformer ou de percevoir des expériences positives en expériences négatives. Ainsi, elles rejettent tous les aspects positifs parce qu’elles les considèrent comme insignifiants ou parce qu’elles ne les méritent pas, ou encore parce qu’elles l’interprètent de travers. Elles ne peuvent s’empêcher de se nourrir d’images négatives de la vie, parfois d’elles-mêmes, malgré la présence de côtés positifs facilement repérables. C’est un filtre très néfaste !

    Un exemple ? J’ai parfois pensé que si mes parents me donnaient des provisions à chaque visite, c’est parce qu’ils croyaient que je n’arrivais pas à me débrouiller toute seule, c’était comme insulte pour moi, limite de l’irrespect. Or, avec le temps, j’ai compris que beaucoup de parents fonctionnent ainsi ! Ils continuent à nourrir leurs enfants, c’est plus fort qu’eux ! Mon rejet du positif aurait pu me coûter de bonnes confitures maison, des œufs frais et des petits plats mijotés…

    🔎 Reconnaître que je suis quelqu’un de bien et que j’attire les gestes bienveillants par pure gentillesse, sympathie et affection, et non par pitié… Accepter la vie comme elle vient avec ses cadeaux, car il y a du positif partout !

    Il s’agit encore et toujours de réviser notre manière de penser. Cet ajustement va influencer notre perception des événements qui va s’aligner parallèlement à nos attentes et ainsi rééquilibrer notre formule du bonheur.  

    Pour apprendre à vivre heureux, il faut apprendre à penser.

    Découvre la suite dans cet article. Comment renverser des tendances qui détruisent notre bonheur peu à peu ?!