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  • 5 principes pour vivre heureux

    5 principes pour vivre heureux

    Nous bâtissons notre existence au présent, alors d’où vient la tendance d’une grande majorité de naviguer entre deux mondes : celui du passé qui réveille de vieilles blessures et celui du futur qui entretient notre peur de l’inconnu ?

    Pourquoi ne parvenons-nous pas à rester ancrés ici et maintenant, bien déterminés à profiter de la plénitude du moment présent ?

    Pourquoi se bercer d’illusions que demain sera meilleur qu’aujourd’hui, sans ressentir la beauté de l’instant présent, du jour que l’on vit ?

    Nous sommes conditionnés ainsi, pour ainsi dire, mais il y a toujours moyen de changer de programme !

    Après un long, long voyage intérieur où j’ai entrepris un retour dans mon passé, j’ai décidé de n’en garder que les bons souvenirs. Puis, de préparer mon futur en vivant bien campée dans le présent, les deux pieds à l’aise dans mes tongs pour bien jouir de la vie, de chaque jour qu’elle offre. 

    Pour y parvenir, j’ai compris que je devais commencer à apprendre à profiter pleinement et simplement de ma journée.

    Au fil des mois, des années, j’ai adopté des réflexes pour vivre heureuse, en dépit de tout, et surtout, du fil d’actualités.

    Voici 5 principes fondamentaux pour vivre heureux et le rester.

    1- Pratiquer tous les jours un exercice de pleine conscience

    Si cette notion d’exercice te dérange, alors apprends que tu pratiqueras naturellement cette prise de conscience du moment présent dès que tu en auras saisi toute l’importance. 

    • Dès que tu as mal au dos, bloqué(e) derrière ton écran 
    • Dès que tu peines à te concentrer, car trop d’infos
    • Dès que tu satures, tout simplement

    Ton cerveau te commandera d’aller faire une pause. Et alors, tu feras naturellement un “exercice de pleine conscience” peut-être sans le réaliser vraiment, jusqu’au jour où tu les déclencheras par automatisme, car tu en ressentiras le besoin urgent.

    Aller dehors et éveiller ses 5 sens est le premier réflexe et l’un des plus faciles à mon goût. On écoute un chien aboyer, on regarde les arbres s’agiter doucement, on sent la caresse du vent, on relève l’odeur de curry qui s’échappe de la fenêtre de la voisine… Et chaque jour, tu vas vivre une scène similaire qui sera pourtant totalement différente, selon le lieu où tu seras, et selon tes états d’âme.

    2- Rester connecté(e)

    Avec soi : ses pensées, son corps

    C’est bien connu : un esprit sain dans un corps sain. Notre corps reflète l’état de notre mental. Entretenir l’un comme l’autre est une clé à retenir, car elle nous ouvre l’accès au bonheur. Et même si notre santé devient défaillante, alors que notre système de pensée reste indemne, nous ne perdrons ni notre bonne humeur ni notre optimisme.

    Ses pensées

    Il est tout aussi indispensable de veiller à l’état de nos pensées. En effet, il nous appartient d’en contrôler le flux pour intercepter les pensées négatives et les traiter immédiatement en les remplaçant par une pensée positive (se projeter mentalement une image, écouter de la musique, choisir son entourage, etc.).

    Son corps

    Autre clé du bonheur : il est vital d’en prendre soin, d’instaurer une belle hygiène de vie.

    • Surveiller son poids avec une alimentation saine, bien s’hydrater
    • Pratiquer du sport, marcher, s’aérer dans la nature
    • Apprendre à respirer, se détendre, se poser

    3- Choisir « d’être » plutôt que « faire »

    Facile à dire ! Comment… faire ??? Notre nature nous pousse à agir pour exister. Or, à notre naissance, le bonheur est notre état par défaut. Un bébé est réceptif, non actif. Pour tendre à nouveau vers cet état, nous devons cesser d’agir, tout simplement. Et accueillir les petits bonheurs du moment présent.

    Régulièrement, je m’octroie des “soirées musique-découverte”. J’écoute, je suis suspendue aux sons, je ne suis ni en train de lire, ni d’appeler quelqu’un, ni de cuisiner. Je suis avec l’orchestre, dans le public, je n’en perds pas une note, tout en restant confortablement lovée dans mon canapé. Je “suis là” sans “rien faire”.

    Chaque instant de notre vie est essentiellement irremplaçable : sache parfois t’y concentrer uniquement.” (André Gide)

    4- Devenir un(e) adepte des pauses

    Nos agendas surchargés nous forcent à optimiser chaque espace temps. Et avant que notre cerveau ne fume et ne nous conduise tout droit vers un burn out, avec toutes les conséquences douloureuses qui l’accompagnent, il devient impératif de programmer des pauses, ces instants de petits bonheurs si faciles à instaurer !

    😎 S’imposer des pauses régulières dans sa journée : 5 à 10 mn, puis, si possible, entre midi et deux. 

    L’été, je lézarde 15-20 mn au soleil ! Attention aux U.V. ! Mais quelle sensation, celle de sentir le soleil réchauffer son corps, avec une petite brise qui caresse tout doucement son visage ! C’est ça, vivre le moment présent, c’est ça, la pleine conscience. 

    Puis, de manière plus générale, organiser des week-ends ou des vacances seuls ou en famille, avec des amis, pour s’offrir des moments de détente, de promenade, de repas conviviaux. Où on oublie pour quelques heures, pour quelques jours ses obligations afin d’apprécier le moment présent en solitaire ou avec ceux qu’on aime.

    5- Tout ce que je fais, je le fais bien, step by step

    C’est un composant de la formule du bonheur : la satisfaction d’une journée (au présent !) bien remplie, du travail bien fait. Bien penser sa journée, l’organiser un temps soit peu, concentré(e) sur le déroulement de l’action et non seulement sur le résultat.

    “La vie n’est pas un marathon mais un voyage à savourer à chaque pas.”

    • Je ne me fixe pas d’objectifs trop difficiles à atteindre
    • Je n’alourdis pas ma to-do list 
    • Je m’engage quand j’agis : à donner le meilleur de moi-même, en visant l’excellence car la perfection n’existe pas
    • J’accepte d’effectuer un pas après l’autre, sans trop anticiper, ni se précipiter, après le 1 vient le 2 puis le 3 et le 4, etc… 
    • J’apprends à ne faire qu’une seule chose à la fois

    “Le progrès nous conduit droit au but et la précipitation au désastre.”

    Ces 5 principes ont radicalement changé ma façon de vivre ma vie au quotidien. J’apprécie chaque jour, même s’il est différent de mes attentes, même si je n’ai pas réalisé tous mes objectifs.

    Décide que ta journée sera bonne, et point barre. Et ne laisse rien ni personne te persuader du contraire ! Elle a été créée pour toi, elle existe pour toi, pour que tu en profites pleinement. Et alors la gratitude jaillira de toi, et avec la gratitude, la joie.

  • Souvenirs, souvenirs…

    Souvenirs, souvenirs…

    Certains souvenirs sont ancrés dans ta mémoire, d’autres n’ont fait qu’une brève interruption pour disparaître. Tu sais, maintenant, que nous cherchons systématiquement à changer le fonctionnement de notre cerveau, habitué au négatif, voire au pire. Nous voulons l’entraîner vers le meilleur, résolument vers le bonheur !

    Alors, cela mérite que nous comprenions, ensemble, comment fonctionnent les souvenirs, et plus exactement notre mémoire. Pour nous habituer à puiser dans les bons souvenirs, et rien que les bons !

    500 trillions de microprocesseurs

    La mémoire repose sur les connexions qui s’établissent entre les neurones en des points de contact nommés “synapses”. Ces synapses se situent là où le prolongement d’un neurone qui émet des signaux se connecte à l’une des nombreuses ramifications d’un neurone adjacent qui reçoit les signaux. Il y a 100 milliards de neurones dans ton cerveau ! Représentant en moyenne environ 5 000 connexions (synapses), comme si tu avais 500 trillions de microprocesseurs connectés dans un vaste réseau ! 

    Mémoire à court ou long terme

    Quand un souvenir à court terme se crée, une synapse est sensibilisée de manière temporaire. Quand le même signal renouvelle l’activation, la synapse est renforcée. Dans le cas de la mémoire à long terme, le renforcement de la synapse devient permanent. (Source Pour la science)

    Ainsi, il a été relevé que nous consacrons beaucoup plus de ressources mentales pour traiter les informations négatives que pour les positives. Notre cerveau les stocke différemment selon leur caractère :

    • Immédiatement quand c’est une “mauvaise nouvelle”
    • Pendant + de 20 secondes pour un transfert de la mémoire à court terme vers

    celles à long terme (Source Greater Good Science Center à UC Berkeley)

    Le cerveau agit comme du Velcro sur les expériences négatives, mais comme du Teflon sur les positives.” (Dr Rick Hason, psychologue) 

    Il s’accroche au négatif, et il glisse sur le positif, comme s’il n’avait aucune emprise. 

    Pourquoi pas l’inverse ?!

    Des souvenirs à tendance négative

    Nous avons tendance à nous souvenir plus facilement des aspects et des événements négatifs. Pourquoi ?! Parce que notre cerveau a été “déformé” depuis notre naissance jusqu’à l’instant où tu lis ces lignes. Nous collectons les informations pour les stocker en souvenirs, plus ou moins altérées par notre perception, qui elle-même passe à travers une multitude de filtres, de suppositions, de prédictions, d’hypothèses, etc.. 

    Depuis la nuit des temps, on a exercé notre cerveau à nous alerter des dangers potentiels, qu’il vient puiser dans nos souvenirs, surtout les négatifs, qui faussent notre perception de la réalité. (On parle aussi de “biais négatif” ou “biais cognitif”). C’est encore une forme de croyance, qui a tendance à tordre la vérité en déviant systématiquement la pensée logique par rapport à la réalité.

    On peut renverser la tendance !

    Je te parle souvent de changement et il est tout à fait possible de “reprogrammer” notre cerveau en l’habituant à extraire que les bons souvenirs.

    Quand tu écoutes la chanson de Johnny, Souvenirs, souvenirs, Johnny ne raconte que de belles histoires. Écoute attentivement et remarque que les mots choisis font appel à nos cinq sens, ceux qui éveillent justement nos “bons souvenirs” :

    • “refleurir” (odorat/vue), 
    • “joue contre joue” (toucher), 
    • “mille fleurs, mille baisers” (vue/odorat/goût), 
    • “chansons” (ouïe)

    Johnny se remémore une saison bien particulière : l’été. L’été, c’est le soleil, les vacances, les fêtes, la danse, les sorties entre copains. Et Johnny, quand son ciel devenait gris (mauvais souvenirs ?), il le colorait à coups de souvenirs enchantés. Chapeau, Johnny !

    On peut faire pareil : ne se souvenir que des bons souvenirs ! Quand la tristesse remonte, quand le stress nous gagne. 

    Pour cela, je te propose ce test de méditation “ARRET” qui sollicite tes 5 sens. 

    Test de méditation “ARRET”

    Tu peux le pratiquer depuis chez toi, au bureau, à l’extérieur. Il peut durer 10 à 20 mn, selon l’effet désiré… et ton état.

    Suis les différentes étapes à l’aide des différentes lettres.

    1. A, comme “Arrête”. ARRETE ! Arrête ce que tu es en train de faire… Ferme les yeux quelques instants, la séance va commencer…
    2. R, comme “Respire”. Concentre-toi sur ta respiration ; inspire profondément, expire lentement, doucement, en relâchant les épaules. Reprends le contrôle sur ton souffle, tu es peut-être souvent en apnée, tu respires par saccade, ce qui va te fatiguer plus rapidement. Fais-le minimum 10 fois. Prends ton temps.
    3. R, comme “Regarde”. Depuis là où tu te trouves, regarde, observe ton environnement. Découvre tout ce qui t’entoure, comme si c’était la première fois que tu le regardais. Promène tes yeux lentement, en t’attardant sur certains objets qui vont t’attirer.
    4. E, comme “Écoute”. Concentre-toi sur les bruits qui remontent à tes oreilles. Le passage des voitures, le gazouillis des oiseaux, le vent dans les arbres, un chien qui aboie, des voisins qui parlent, le tic-tac de l’horloge… Ou bien le silence… Accueille favorablement chaque son, sans le juger, prends-en simplement conscience.
    5. T, comme “Touche”. Fais courir tes mains sur ce qui t’entoure : la table basse de ton salon, le plaid sur ton canapé, le laminé froid de ton bureau, ton jean… Caresse ton visage, effleure une plante… 

    Dès que tu sens les effets de cet exercice de “pleine conscience”, et que tu te sens apaisé(e), détendu(e), que le stress t’a quitté(e), remets-toi doucement à vaquer à tes activités, tes occupations.

    Comment te sens-tu ? Cliques ici !😊

  • Mode d’emploi pour empêcher nos pensées de nous faire souffrir

    Mode d’emploi pour empêcher nos pensées de nous faire souffrir

    1ère Étape

    Je suis certaine que tu t’es déjà posé la question… Comment endiguer la souffrance, sortir du mal-être ? Ai-je droit au bonheur ? Pourquoi les autres sont-ils heureux, et pas moi ?

    « Sans nos pensées, nous retournerons à notre état par défaut de notre enfance : le bonheur. » (Mo Gawdat)

    Tu te doutes bien qu’on ne peut pas lutter contre 42 000 pensées négatives par jour… Pas même une seule ! Nous sommes incapables de lutter contre celles qui s’accrochent à notre esprit, responsables de notre contrariété, de notre souffrance.

    Dans notre approche du bonheur, nous allons apprendre progressivement à contrôler nos pensées, à veiller sur celles qui polluent notre quotidien afin qu’elles ne s’incrustent pas.

    Nous avons vu dans Rêves ou illusions ? que :

    • Changer la perception des événements est un premier pas pour retrouver le bonheur. 
    • Rééquilibrer nos attentes avec la réalité a le pouvoir de briser le cercle des illusions.

    À la fin de cet article, tu sauras installer de nouvelles habitudes dans tes pensées. Elles se déroulent en 3 étapes dans lesquelles je vais glisser plusieurs astuces à exploiter au quotidien.

    Nous allons aborder la première étape, que je qualifie d’indispensable, parce que c’est en fonction d’elle que les deux autres seront moins difficiles à mettre en place dans ton système de pensée.

    1ère étape- “Le nettoyage de ton disque dur”

    Cette étape se transforme peu à peu en habitude.

    Cela consiste à purifier tes pensées en éliminant les mauvaises. Comment faire ? Et pour que ça dure ? J’ai 2 astuces, simples et efficaces.

    Astuce 1 : visualiser une belle image

    Quand une mauvaise nouvelle tombe, ou une contrariété, tu as peut-être tendance à penser :

    • C’est sur toujours moi que ça tombe !
    • Jamais ça va s’arrêter !
    • J’en ai marre ! 
    • À peine je règle un problème, qu’un autre surgit, c’est toujours pareil !

    Quand cela m’arrive, je “regarde” une belle image : ma préférée, c’est l’océan, et principalement la plage du Phare des Baleines de l’Ile de Ré, tu connais ? 😉 Pendant que je suis en train d’écrire ce paragraphe, là, je la vois. D’un vert émeraude, avec des nuances d’un bleu profond, légèrement agitée. Les plateaux qu’ont formé les rochers où se sont incrustés de petits coquillages. Le sable fin, que la lumière douce d’un ciel voilé vient à peine jaunir. Cette vision m’apaise, et je ne pense plus à mon problème du moment. 

    Ensuite, quand nos émotions premières  – négatives – se sont dissipées grâce à elle, on peut se mettre à penser concrètement et positivement :

    • Bon, comment je m’y prends, maintenant ? Quelles sont les solutions ?
    • Bah, ça arrive à tout le monde !
    • Je ne suis pas à le(la) seul(e) à encaisser de mauvaises nouvelles !
    • La vie, c’est fait de hauts et de bas !

    💡 Action : il te suffit de collecter la bonne image qui va purifier instantanément tes pensées : soleil couchant, une prairie fleurie, les eaux tranquilles d’un lac, un paysage de montagne, etc. Si tu manques d’inspiration, regarde sur internet…

    Astuce 2 : écouter de la belle musique

    Personnellement, elle vient souvent en seconde position, car je suis fan de musique. J’en écoute tout le temps !

    Je mets en route mes playlists préférées qui dégagent sérénité, joie, énergie ou douceur. Elles ont l’avantage de dissiper les craintes, les doutes, la fatigue morale. 

    Une fois, je suis sortie d’un repas de famille complètement abattue. Vite ! Vite ! J’ai lancé dans la voiture des chansons gaies, positives, qui m’ont instantanément apaisée. Je n’ai plus pensé aux paroles entendues, aux comportements des uns des autres. J’ai changé à tue-tête pendant 45 mn, le temps de rentrer. Non, je n’ai pas laissé mes pensées me voler ma joie !

    💡 Action : j’écoute très souvent U2 ou une musique diffusée 7/24 : Calm Piano Music. Tu m’en diras des nouvelles ! Sinon, à toi de te créer des playlists selon tes besoins du moment : musiques de film, musique blues-jazz ou classique… 

    Astuce 3 : méditer par la lecture

    Rien de tel qu’un bon livre pour apaiser ses pensées. Avant, je croyais que me planter devant une série allait interrompre le flux de mes pensées pas toujours réjouissant ou reposant.

    Sauf que les écrans, quels qu’ils soient, vont activer notre cerveau pourtant en demande de repos et déjà très agité par nos pensées. Selon moi : à éviter !

    J’ai trouvé mieux ! Me coucher vers 21h/22h et calmer mes pensées jusqu’à ce qu’elles clignotent au ralenti comme mes paupières avec un bon bouquin.

    Je lis parfois des romans historiques (Je te recommande les sagas de Ken Folett : Les pilliers de la terre (en 4 tomes…) sinon des ouvrages spirituels comme L’homme qui voulait être heureux de Laurent Gounelle, Le Roi, le sage et le bouffon de Shafique Keshavjee ou encore Le prophète de Khalil Gibran, La lumière du monde de Christian Bobin.

    💡 Action : va faire un tour en librairie ! Ou sur Amazone…

    Bonus : j’aime bien piocher une petite lecture “au hasard” avant d’éteindre la lumière, dans les Pensées du Soir de Carl Hilty. C’est un petit livre que j’ai déniché dans une brocante auquel il manque quelques pages. Un extrait :

    Ne te dispute jamais en pensée avec quelqu’un. Cela aigrit le cœur plus qu’un véritable dispute et c’est la cause de beaucoup d’agitation intérieure (…) C’est amasser la folie sur sa tête.

    Pas mal, non ? 

    Retiens que ce nettoyage est quasi quotidien, dès qu’un événement, la fatigue, le stress, l’accumulation de tâches viennent polluer nos pensées. À chaque fois qu’une pensée négative surgit, utilise cette stratégie, et elle deviendra une bonne habitude. 

    À suivre : les 2 prochaines étapes pour que nos pensées cessent de faire des dégâts.